La Belgique peut devenir un pionnier mondial dans ce domaine, selon la plateforme qui regroupe plusieurs acteurs du monde de la santé et de la recherche contre le cancer
La RLT, aussi appelée radiothérapie interne vectorisée (RIV), est un traitement innovant et ciblé qui utilise la médecine nucléaire pour traiter divers types de cancers avec une très grande précision. Elle combine une molécule qui reconnaît les cellules cancéreuses (le ligand) avec un radio-isotope, dont le but est d'endommager ou de détruire les cellules cancéreuses tout en limitant l'impact sur les cellules saines avoisinantes.
"Les cellules saines étant très peu exposées aux radiations, les risques d'effets secondaires sont moins importants que pour d'autres traitements comme la chimiothérapie", explique Christophe Deroose, expert en médecine nucléaire à l'UZ Leuven.
Chaque année en Belgique, environ 70.000 personnes reçoivent un diagnostic de cancer. "La RLT peut représenter un espoir nouveau pour beaucoup d'entre eux", affirment les auteurs du plan d'action. "Des investissements locaux dans la RLT pourraient permettre d'accélérer l'accès à ce traitement novateur pour les patients, notamment en facilitant leur participation aux essais cliniques, à condition que le système de santé soit adapté à cet effet."
Actuellement, la RLT est utilisée avec succès pour traiter les tumeurs neuroendocrines et le cancer de la prostate métastatique. À l'échelle mondiale, environ 200 essais cliniques sur la RLT sont en cours pour d'autres types de cancer, dont certains en phase avancée. "L'extension de l'utilisation de la RLT à d'autres formes de cancer pourrait permettre à davantage de patients de bénéficier de ce traitement prometteur", selon la plateforme à l'initiative du plan d'action, qui regroupe des professionnels de la santé, des hôpitaux, des institutions de recherche, des universités, des associations de patients, ainsi que les services publics, chapeautés par le cabinet de conseil Inovigate.
La RLT, aussi appelée radiothérapie interne vectorisée (RIV), est un traitement innovant et ciblé qui utilise la médecine nucléaire pour traiter divers types de cancers avec une très grande précision. Elle combine une molécule qui reconnaît les cellules cancéreuses (le ligand) avec un radio-isotope, dont le but est d'endommager ou de détruire les cellules cancéreuses tout en limitant l'impact sur les cellules saines avoisinantes."Les cellules saines étant très peu exposées aux radiations, les risques d'effets secondaires sont moins importants que pour d'autres traitements comme la chimiothérapie", explique Christophe Deroose, expert en médecine nucléaire à l'UZ Leuven.Chaque année en Belgique, environ 70.000 personnes reçoivent un diagnostic de cancer. "La RLT peut représenter un espoir nouveau pour beaucoup d'entre eux", affirment les auteurs du plan d'action. "Des investissements locaux dans la RLT pourraient permettre d'accélérer l'accès à ce traitement novateur pour les patients, notamment en facilitant leur participation aux essais cliniques, à condition que le système de santé soit adapté à cet effet."Actuellement, la RLT est utilisée avec succès pour traiter les tumeurs neuroendocrines et le cancer de la prostate métastatique. À l'échelle mondiale, environ 200 essais cliniques sur la RLT sont en cours pour d'autres types de cancer, dont certains en phase avancée. "L'extension de l'utilisation de la RLT à d'autres formes de cancer pourrait permettre à davantage de patients de bénéficier de ce traitement prometteur", selon la plateforme à l'initiative du plan d'action, qui regroupe des professionnels de la santé, des hôpitaux, des institutions de recherche, des universités, des associations de patients, ainsi que les services publics, chapeautés par le cabinet de conseil Inovigate.