Un premier milliard avait déjà été accordé au début de la crise, essentiellement pour faire face aux dépenses en matière de santé. Un deuxième milliard a servi à de nouvelles dépenses: aide aux hôpitaux, aides sociales (Grapa, aide aux personnes handicapées, revenu d'intégration sociale) et aux CPAS ou encore les tests covid-19. Certaines décisions ont été prises entretemps, par exemple en faveur de la police, ou doivent encore être précisées, par exemple celles prises au "kern élargi" par les 10 partis associés aux pouvoir spéciaux sur l'octroi d'un railpass.

Des dépenses pourraient par ailleurs s'inviter, en particulier une aide éventuelle de 300 millions d'euros à Brussels Airlines, toujours en négociation.

Au total, les dépenses consommées, prévues ou éventuelles s'élèvent à 2,3 milliards d'euros.

Les vacances parlementaires commenceront après le 16 juillet et le gouvernement ne souhaite pas être pris au dépourvu. Il a notamment en vue une deuxième vague de l'épidémie.

"Nous ne pouvons exclure cette éventualité et je souhaite que le gouvernement puisse agir rapidement si cela s'avère nécessaire", a expliqué le ministre du Budget, David Clarinval.

Un premier milliard avait déjà été accordé au début de la crise, essentiellement pour faire face aux dépenses en matière de santé. Un deuxième milliard a servi à de nouvelles dépenses: aide aux hôpitaux, aides sociales (Grapa, aide aux personnes handicapées, revenu d'intégration sociale) et aux CPAS ou encore les tests covid-19. Certaines décisions ont été prises entretemps, par exemple en faveur de la police, ou doivent encore être précisées, par exemple celles prises au "kern élargi" par les 10 partis associés aux pouvoir spéciaux sur l'octroi d'un railpass.Des dépenses pourraient par ailleurs s'inviter, en particulier une aide éventuelle de 300 millions d'euros à Brussels Airlines, toujours en négociation.Au total, les dépenses consommées, prévues ou éventuelles s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. Les vacances parlementaires commenceront après le 16 juillet et le gouvernement ne souhaite pas être pris au dépourvu. Il a notamment en vue une deuxième vague de l'épidémie. "Nous ne pouvons exclure cette éventualité et je souhaite que le gouvernement puisse agir rapidement si cela s'avère nécessaire", a expliqué le ministre du Budget, David Clarinval.