La molécule est jugée inefficace par l'entreprise pharmaceutique belge, qui dispose toutefois d'autres candidates dans son pipeline.
UCB vient d'annoncer que l'étude ORCHESTRA (phase 2a) sur la minzasolmine - une petite molécule orale expérimentale, inhibitrice du mauvais pliage de l'alpha-synucléine -, développée en partenariat avec Novartis pour le traitement de la maladie de Parkinson au stade précoce, n'a pas atteint ses objectifs cliniques primaires et secondaires. Les données relatives aux biomarqueurs de la maladie, qui ont révélé un signal préliminaire, sont toujours en cours d'analyse. Le profil de sécurité de la minzasolmine était conforme, aucun nouveau problème de sécurité n'a été identifié, précise la firme.
Environ 450 patients à un stade précoce de la maladie ont participé à cette étude de 18 mois. " Notre équipe est reconnaissante envers les patients, les familles et les professionnels de la santé impliqués dans le programme de développement de la minzasolmine", explique Alistair Henry, Chief Scientific Officer chez UCB. "Fort d'un héritage solide et éprouvé dans le domaine de la maladie de Parkinson, UCB poursuit son engagement en faveur d'une stratégie axée sur la science et les patients pour traiter à la fois les causes et les symptômes de la maladie."
La recherche se poursuit
D'autres recherches en lien avec la maladie de Parkinson sont cependant toujours en cours. UCB dispose en effet d'un portefeuille de programmes précliniques et cliniques de phase précoce évaluant de nouvelles approches thérapeutiques potentielles multiples et distinctes.
Le mauvais pliage et l'agrégation de l'alpha-synucléine sont des facteurs pathologiques clés de la maladie de Parkinson. Outre la minzasolmine, qui se concentre sur l'inhibition du mauvais pliage intracellulaire de l'alpha-synucléine, UCB travaille aussi sur "UCB7583", actuellement à l'étude pour prévenir la propagation extracellulaire de l'alpha-synucléine. Au-delà de la pathologie de l'alpha-synucléine, UCB développe le glovadalen (UCB0022), "une petite molécule pénétrant dans le cerveau et disponible par voie orale, conçue pour renforcer la puissance de la dopamine là et quand il le faut afin d'activer le récepteur D1 de la dopamine et d'améliorer ainsi le contrôle des symptômes" explique la firme.
UCB vient d'annoncer que l'étude ORCHESTRA (phase 2a) sur la minzasolmine - une petite molécule orale expérimentale, inhibitrice du mauvais pliage de l'alpha-synucléine -, développée en partenariat avec Novartis pour le traitement de la maladie de Parkinson au stade précoce, n'a pas atteint ses objectifs cliniques primaires et secondaires. Les données relatives aux biomarqueurs de la maladie, qui ont révélé un signal préliminaire, sont toujours en cours d'analyse. Le profil de sécurité de la minzasolmine était conforme, aucun nouveau problème de sécurité n'a été identifié, précise la firme.Environ 450 patients à un stade précoce de la maladie ont participé à cette étude de 18 mois. " Notre équipe est reconnaissante envers les patients, les familles et les professionnels de la santé impliqués dans le programme de développement de la minzasolmine", explique Alistair Henry, Chief Scientific Officer chez UCB. "Fort d'un héritage solide et éprouvé dans le domaine de la maladie de Parkinson, UCB poursuit son engagement en faveur d'une stratégie axée sur la science et les patients pour traiter à la fois les causes et les symptômes de la maladie." D'autres recherches en lien avec la maladie de Parkinson sont cependant toujours en cours. UCB dispose en effet d'un portefeuille de programmes précliniques et cliniques de phase précoce évaluant de nouvelles approches thérapeutiques potentielles multiples et distinctes.Le mauvais pliage et l'agrégation de l'alpha-synucléine sont des facteurs pathologiques clés de la maladie de Parkinson. Outre la minzasolmine, qui se concentre sur l'inhibition du mauvais pliage intracellulaire de l'alpha-synucléine, UCB travaille aussi sur "UCB7583", actuellement à l'étude pour prévenir la propagation extracellulaire de l'alpha-synucléine. Au-delà de la pathologie de l'alpha-synucléine, UCB développe le glovadalen (UCB0022), "une petite molécule pénétrant dans le cerveau et disponible par voie orale, conçue pour renforcer la puissance de la dopamine là et quand il le faut afin d'activer le récepteur D1 de la dopamine et d'améliorer ainsi le contrôle des symptômes" explique la firme.