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Et ce même si le traitement initial n'a pas toujours été optimal. C'est ce que montre une nouvelle étude à paraître dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism (JCEM). On rappellera qu'après Tchernobyl, le nombre de cancers de la thyroïde, principalement de type papillaire ou différentié, a explosé en Ukraine, Belarus et dans les régions occidentales de la Russie.