Comme nous l'annoncions le 23 septembre, l'Institut de santé publique Sciensano lance une nouvelle version de son baromètre Covid-19 auprès des médecins généralistes belges. Cette cartographie 2.0 du nombre de consultations pour troubles respiratoires auprès d'un médecin généraliste entend donner une image plus précise de l'évolution de l'épidémie en Belgique et permettre d'adapter en conséquence les prestations de soins.
Comme le précédent, ce nouveau baromètre répertorie les problèmes respiratoires, dont le Covid-19, mis au jour lors d'une consultation médicale auprès d'un généraliste. Pour ce faire, l'outil - développé en collaboration avec l'Institut national d'assurance maladie-invalidité (Inami), la KU Leuven et l'association de généralistes Domus Medica - se base sur les diagnostics codés dans les dossiers médicaux électroniques. À la fin de la journée, le système comptabilise automatiquement le nombre de diagnostics enregistrés pour ces indicateurs précis et le praticien transmet ces chiffres au moyen d'un formulaire électronique.
Nouveauté toutefois: le baromètre 2.0 se concentre sur une surveillance syndromique, à partir d'un nombre réduit d'indicateurs (suspicion ou confirmation de Covid-19, syndrome viral, grippal et infections aiguës des voies respiratoires). Les données concernant la charge de travail des médecins et l'inventaire du matériel ne sont donc plus reprises. "Cela permet de réduire le temps de collecte et d'augmenter la qualité des données", justifie Sciensano. On estime en effet qu'une augmentation du nombre de consultations en raison de problèmes respiratoires chez les médecins généralistes se traduit généralement par une hausse des admissions à l'hôpital deux semaines plus tard.
L'outil s'adresse à tous les cabinets de médecine générale. La participation est volontaire et rémunérée. Plus grande est la participation, meilleure sera l'idée de la situation sur le terrain, conclut l'institut de santé publique.
Comme le précédent, ce nouveau baromètre répertorie les problèmes respiratoires, dont le Covid-19, mis au jour lors d'une consultation médicale auprès d'un généraliste. Pour ce faire, l'outil - développé en collaboration avec l'Institut national d'assurance maladie-invalidité (Inami), la KU Leuven et l'association de généralistes Domus Medica - se base sur les diagnostics codés dans les dossiers médicaux électroniques. À la fin de la journée, le système comptabilise automatiquement le nombre de diagnostics enregistrés pour ces indicateurs précis et le praticien transmet ces chiffres au moyen d'un formulaire électronique. Nouveauté toutefois: le baromètre 2.0 se concentre sur une surveillance syndromique, à partir d'un nombre réduit d'indicateurs (suspicion ou confirmation de Covid-19, syndrome viral, grippal et infections aiguës des voies respiratoires). Les données concernant la charge de travail des médecins et l'inventaire du matériel ne sont donc plus reprises. "Cela permet de réduire le temps de collecte et d'augmenter la qualité des données", justifie Sciensano. On estime en effet qu'une augmentation du nombre de consultations en raison de problèmes respiratoires chez les médecins généralistes se traduit généralement par une hausse des admissions à l'hôpital deux semaines plus tard. L'outil s'adresse à tous les cabinets de médecine générale. La participation est volontaire et rémunérée. Plus grande est la participation, meilleure sera l'idée de la situation sur le terrain, conclut l'institut de santé publique.