La rentrée des classes sera dépendante des modèles déterminés par les ministres communautaires de l'Enseignement. "C'est beaucoup trop tôt pour décider de la rentrée des classes. Si nous n'intervenons pas de manière drastique, même la rentrée scolaire pourrait être mise à mal."

"Tout cela a décidé par la cellule d'experts. Pour 4 semaines. Passé ce délai, nous nous reverrons pour voir si nos efforts doivent être maintenus ou allégés. Nous resterons en contact avec les épidémiologistes. Sans réaction forte aujourd'hui, la situation sera pire plus tard. Les chiffres vont continuer à se détériorer ce qui est dur pour le moral. Un effet retard avec la bonne réaction est meilleur que sans réaction. "/

Par rapport aux familles qui vivent à la mer ou dans les Ardennes, la Première n'a pas répondu.

Au niveau du testing, le ministre De Backer a confirmé qu'à Anvers notamment, il faut l'utiliser. La capacité est d'arriver à 30.000 tests par jour. Ce qui devrait être suffisant, dit-il, pour les médecins généralistes. Bien que c'est insuffisant pour les personnes asymptomatiques.

Quid du masque ? Le CNS ne le rend pas obligatoire "en tout moment et en tout lieu". Faire une promenade alors que les rues sont vides en fin de journée, c'est inutile. Cependant, il doit être porté en maintes occasions déjà maintenant.

S'agit-il d'un lockdown déguisé? La Première ne l'exclut pas mais "réagir de manière forte lorsque les gens se sentent encore en sécurité, c'est pour éviter un lockdown". "Il faut éviter la situation du mois de mars pour des raisons humaines ET économiques. Nous sommes à l'aube d'une crise économique sans précédent. Imaginons les conséquences d'un nouveau lockdown. Les virologues estiment que ces mesures seront suffisantes. Même les plus grands scientifiques sont incapables partent d'hypothèses basées sur la connaissance actuelle du virus qui évolue tous les jours. On ne sait pas parfaitement comment les choses vont évoluer."

A Anvers, le Fédéral a clairement demandé un quasi lock-down local dans certains quartiers. Une réunion à l'Hôtel de Ville se tient actuellement (16 h 30).

La rentrée des classes sera dépendante des modèles déterminés par les ministres communautaires de l'Enseignement. "C'est beaucoup trop tôt pour décider de la rentrée des classes. Si nous n'intervenons pas de manière drastique, même la rentrée scolaire pourrait être mise à mal.""Tout cela a décidé par la cellule d'experts. Pour 4 semaines. Passé ce délai, nous nous reverrons pour voir si nos efforts doivent être maintenus ou allégés. Nous resterons en contact avec les épidémiologistes. Sans réaction forte aujourd'hui, la situation sera pire plus tard. Les chiffres vont continuer à se détériorer ce qui est dur pour le moral. Un effet retard avec la bonne réaction est meilleur que sans réaction. "/Par rapport aux familles qui vivent à la mer ou dans les Ardennes, la Première n'a pas répondu.Au niveau du testing, le ministre De Backer a confirmé qu'à Anvers notamment, il faut l'utiliser. La capacité est d'arriver à 30.000 tests par jour. Ce qui devrait être suffisant, dit-il, pour les médecins généralistes. Bien que c'est insuffisant pour les personnes asymptomatiques.Quid du masque ? Le CNS ne le rend pas obligatoire "en tout moment et en tout lieu". Faire une promenade alors que les rues sont vides en fin de journée, c'est inutile. Cependant, il doit être porté en maintes occasions déjà maintenant.S'agit-il d'un lockdown déguisé? La Première ne l'exclut pas mais "réagir de manière forte lorsque les gens se sentent encore en sécurité, c'est pour éviter un lockdown". "Il faut éviter la situation du mois de mars pour des raisons humaines ET économiques. Nous sommes à l'aube d'une crise économique sans précédent. Imaginons les conséquences d'un nouveau lockdown. Les virologues estiment que ces mesures seront suffisantes. Même les plus grands scientifiques sont incapables partent d'hypothèses basées sur la connaissance actuelle du virus qui évolue tous les jours. On ne sait pas parfaitement comment les choses vont évoluer."A Anvers, le Fédéral a clairement demandé un quasi lock-down local dans certains quartiers. Une réunion à l'Hôtel de Ville se tient actuellement (16 h 30).