Les réponses "permettront d'établir une sorte "d'échelle de référence" qui servira à la mesure de la qualité de vie des Belges". Les résultats de l'enquête serviront également de base pour l'interprétation d'une partie de l'Enquête de Santé 2018 qui sera menée en parallèle par l'Institut de Santé publique.

Concrètement, " il sera demandé aux répondants de chiffrer l'impact que pourraient avoir d'hypothétiques problèmes de santé (p.ex. des douleurs, une dépression, un handicap) sur leur qualité de vie ", précise le KCE.

Le but est de mieux orienter les politiques de santé publique en fonction d'objectifs "à la fois réalistes et en accord avec les priorités de la population d'un pays". L'enquête pourra déceler les populations particulièrement à risque et mettre le paquet sur celles-ci.

QALY

Le choix des nouveaux traitements sera déterminé en fonction des années de vie gagnées pondérées par la qualité de vie (QALY-Quality-ajusted Life-years). Un an de vie de gagné en bonne santé pèsera plus que un an de vie gagné en mauvaise santé. "C'est aussi sur la base des QALY que sont calculés les rapports coût/efficacité des soins de santé, nécessaires pour faire les choix de remboursement par l'assurance maladie."

"Pour la première fois, nous serons donc en mesure de nous baser sur des références entièrement belges", se félicite le KCE.

Dès maintenant et au cours des 6 prochains mois, le bureau d'enquête indépendant Profacts contactera systématiquement un certain nombre des 10.000 personnes de l'échantillon "afin de fixer un rendez-vous pour un entretien (à leur domicile ou dans un lieu de leur choix)". L'objectif est d'atteindre 1.000 entretiens valides, pas davantage.

www.kce.fgov.be/fr/enquete

Les réponses "permettront d'établir une sorte "d'échelle de référence" qui servira à la mesure de la qualité de vie des Belges". Les résultats de l'enquête serviront également de base pour l'interprétation d'une partie de l'Enquête de Santé 2018 qui sera menée en parallèle par l'Institut de Santé publique.Concrètement, " il sera demandé aux répondants de chiffrer l'impact que pourraient avoir d'hypothétiques problèmes de santé (p.ex. des douleurs, une dépression, un handicap) sur leur qualité de vie ", précise le KCE.Le but est de mieux orienter les politiques de santé publique en fonction d'objectifs "à la fois réalistes et en accord avec les priorités de la population d'un pays". L'enquête pourra déceler les populations particulièrement à risque et mettre le paquet sur celles-ci.Le choix des nouveaux traitements sera déterminé en fonction des années de vie gagnées pondérées par la qualité de vie (QALY-Quality-ajusted Life-years). Un an de vie de gagné en bonne santé pèsera plus que un an de vie gagné en mauvaise santé. "C'est aussi sur la base des QALY que sont calculés les rapports coût/efficacité des soins de santé, nécessaires pour faire les choix de remboursement par l'assurance maladie.""Pour la première fois, nous serons donc en mesure de nous baser sur des références entièrement belges", se félicite le KCE.Dès maintenant et au cours des 6 prochains mois, le bureau d'enquête indépendant Profacts contactera systématiquement un certain nombre des 10.000 personnes de l'échantillon "afin de fixer un rendez-vous pour un entretien (à leur domicile ou dans un lieu de leur choix)". L'objectif est d'atteindre 1.000 entretiens valides, pas davantage. www.kce.fgov.be/fr/enquete