Le Centre fédéral d'expertise des soins de santé va soutenir différents projets de recherche en cancérologie, dont trois aux Cliniques universitaires Saint-Luc. Les projets menés par l'Institut Roi Albert II portent sur les cancers du sein et du poumon et le glioblastome.
Alors que le nombre de cancers ne cesse d'augmenter en Belgique, le KCE a choisi d'octroyer un montant à divers projets, dont 1,48 million d'euros à l'étude "Opt-Pembro". Celle-ci vise à réduire les effets secondaires de l'immunothérapie pour le cancer du sein dit "triple négatif". Au total, 2.454 patientes seront recrutées.
"L'immunothérapie associée à de la chimiothérapie est devenue la norme en matière de traitement au stade précoce de la maladie", expliquent les Cliniques universitaires Saint-Luc. "La poursuite de ce traitement six mois après la chirurgie soulève toutefois certaines inquiétudes dans la communauté médicale à cause des risques d'effets secondaires. L'étude tente (alors) de vérifier que l'arrêt d'un médicament d'immunothérapie (pembrolizumab) après six mois n'entraîne pas une survie inférieure chez les patientes suivies."
L'essai clinique "Pulse", destiné à réduire la fréquence de l'immunothérapie pour le cancer du poumon, s'est vu allouer 1,43 million d'euros. Plus de 1.100 patients seront recrutés. Si la fréquence du médicament d'immunothérapie peut être diminuée en toute sécurité, la patientèle pourrait présenter moins d'effets secondaires.
Enfin, pour le glioblastome, un cancer du cerveau très agressif nécessitant des traitements de radiothérapie après la neurochirurgie, le KCE a alloué un montant de plus de 2,45 millions d'euros. Le projet "Belgica" cherche à réduire les effets secondaires de la radiothérapie (fatigue, difficultés cognitives, nausées, etc.), tout en garantissant une même efficacité de traitement. Il vise un recrutement de 347 patients.
Alors que le nombre de cancers ne cesse d'augmenter en Belgique, le KCE a choisi d'octroyer un montant à divers projets, dont 1,48 million d'euros à l'étude "Opt-Pembro". Celle-ci vise à réduire les effets secondaires de l'immunothérapie pour le cancer du sein dit "triple négatif". Au total, 2.454 patientes seront recrutées."L'immunothérapie associée à de la chimiothérapie est devenue la norme en matière de traitement au stade précoce de la maladie", expliquent les Cliniques universitaires Saint-Luc. "La poursuite de ce traitement six mois après la chirurgie soulève toutefois certaines inquiétudes dans la communauté médicale à cause des risques d'effets secondaires. L'étude tente (alors) de vérifier que l'arrêt d'un médicament d'immunothérapie (pembrolizumab) après six mois n'entraîne pas une survie inférieure chez les patientes suivies."L'essai clinique "Pulse", destiné à réduire la fréquence de l'immunothérapie pour le cancer du poumon, s'est vu allouer 1,43 million d'euros. Plus de 1.100 patients seront recrutés. Si la fréquence du médicament d'immunothérapie peut être diminuée en toute sécurité, la patientèle pourrait présenter moins d'effets secondaires.Enfin, pour le glioblastome, un cancer du cerveau très agressif nécessitant des traitements de radiothérapie après la neurochirurgie, le KCE a alloué un montant de plus de 2,45 millions d'euros. Le projet "Belgica" cherche à réduire les effets secondaires de la radiothérapie (fatigue, difficultés cognitives, nausées, etc.), tout en garantissant une même efficacité de traitement. Il vise un recrutement de 347 patients.