" Les relations de travail entre les médecins généralistes et les pharmaciens sont capitales car ces deux prestataires de soins sont les points de contact les plus fréquents pour les patients ", soulignent les deux organisations. " Mieux collaborer entre professionnels de la santé génère des gains d'efficience. Le patient en tire bien sûr profit essentiellement en termes de qualité des soins. "
Après le communiqué de l'Absym du 3 décembre, dans lequel elle s'opposait catégoriquement à toute substitution malgré les difficultés en matière de pénurie, le GBO estime que c'est une position trop radicale et un peu datée.
C'est pourquoi le syndicat de MG francophones allié à l'ASGB et au Modes pour former le Cartel a voulu rédiger un communiqué commun avec l'Association pharmaceutique belge (APB). " Il est important d'avoir un dialogue ouvert et constructif, d'apprendre à se connaître pour mieux appréhender les atouts et les difficultés vécues par les deux métiers. C'est le chemin que le GBO et l'APB ont choisi de mener avec d'autres acteurs comme, par exemple, la SSMG pour le côté francophone. "
APB et GBO estiment dès lors que " le pharmacien a un droit de substitution dans le cas strict de pénurie d'un médicament. La solution trouvée au terme d'un débat tient compte de la réalité du terrain tout en garantissant la continuité des traitements et tout en préservant l'intention thérapeutique du prescripteur ".
Si le devoir d'informer le patient est un préalable important, " la responsabilité du pharmacien envers le patient et son médecin est majeure. Il est important que le patient reçoive le médicament auquel il est habitué mais lorsque celui-ci est indisponible, il faut assurer que le traitement puisse continuer de manière sûre avec une alternative identique ".
Face au problème croissant des pénuries, les pharmacies se retrouvent parfois à ne pas pouvoir délivrer exactement le même médicament. Pour le GBO, " c'est l'intérêt des patients et la continuité des soins qui priment et doivent être au centre des discussions. C'est sur ces bases d'écoute réciproque que les dossiers compliqués peuvent avancer, c'est la voie choisie. "
GBO et APB demeurent attachés au dialogue " avec toutes les parties représentatives de la médecine générale au nord comme au sud ".
Après le communiqué de l'Absym du 3 décembre, dans lequel elle s'opposait catégoriquement à toute substitution malgré les difficultés en matière de pénurie, le GBO estime que c'est une position trop radicale et un peu datée.C'est pourquoi le syndicat de MG francophones allié à l'ASGB et au Modes pour former le Cartel a voulu rédiger un communiqué commun avec l'Association pharmaceutique belge (APB). " Il est important d'avoir un dialogue ouvert et constructif, d'apprendre à se connaître pour mieux appréhender les atouts et les difficultés vécues par les deux métiers. C'est le chemin que le GBO et l'APB ont choisi de mener avec d'autres acteurs comme, par exemple, la SSMG pour le côté francophone. "APB et GBO estiment dès lors que " le pharmacien a un droit de substitution dans le cas strict de pénurie d'un médicament. La solution trouvée au terme d'un débat tient compte de la réalité du terrain tout en garantissant la continuité des traitements et tout en préservant l'intention thérapeutique du prescripteur ".Si le devoir d'informer le patient est un préalable important, " la responsabilité du pharmacien envers le patient et son médecin est majeure. Il est important que le patient reçoive le médicament auquel il est habitué mais lorsque celui-ci est indisponible, il faut assurer que le traitement puisse continuer de manière sûre avec une alternative identique ".Face au problème croissant des pénuries, les pharmacies se retrouvent parfois à ne pas pouvoir délivrer exactement le même médicament. Pour le GBO, " c'est l'intérêt des patients et la continuité des soins qui priment et doivent être au centre des discussions. C'est sur ces bases d'écoute réciproque que les dossiers compliqués peuvent avancer, c'est la voie choisie. "GBO et APB demeurent attachés au dialogue " avec toutes les parties représentatives de la médecine générale au nord comme au sud ".