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Les auteurs concluent que l'on relève une augmentation de cette morbidité durant la première année suivant l'interruption du traitement et particulièrement durant la période qui suit immédiatement cette interruption. Entre 2 et 5 ans après, on ne relève plus de différences réelles à cet égard. (référence : Skeie I et al. Eur Addict Res. 2013;19:194)