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Le médicament utilise des anti-PD-1, "un anticorps entièrement humain qui cible les récepteurs inhibiteurs exprimés sur les lymphocytes T", globules blancs qui jouent un rôle clé dans le système immunitaire, explique le communiqué du groupe publié samedi. De bons résultats ont été observés dans une minorités des patients traités mais ils "ont été durables pour la plupart", d'autant que ces patients étaient en stade avancé de cancer. Toutefois, des effets secondaires "sérieux" sont survenus dans 11% des cas, souligne Bristol-Myers dans son communiqué. "L'immuno-oncologie (qui utilise les anticorps c'est-à-dire les propres systèmes de défense du corps humain) est un domaine de recherche prioritaire chez Bristol-Myers Squibb" a souligné Brian Daniels, un dirigeant de Bristol-Myers Squibb cité dans le communiqué.