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Mais d'autres instances et chercheurs étudient en permanence cette question des plus délicates. L'hebdomadaire canadien, L'Actualité médicale, vient également de faire un tour de la question, rappelant notamment qu'en 2011, un sondage de l'Association médicale canadienne (AMC) indiquait que, pour 51% des répondants, les médias sociaux aidaient le public à mieux cerner les questions médicales. Toutefois, 80% des répondants reconnaissaient aussi que l'utilisation des médias sociaux "posait pour les médecins des risques professionnels et légaux". Et ce sont ces risques que l'on s'efforce actuellement de limiter. Afin de mieux orienter les praticiens, l'AMC avait publié le guide Les médias sociaux et les médecins canadiens - Principes et règles d'engagement. " Depuis, de nombreux organismes y sont allés aussi de leurs lignes directrices. " Tout récemment, trois chercheurs néerlandais ont concocté un guide pratique, intitulé A Social Media Self-Evaluation Checklist for Medical Practitioners. Conçu sous forme de " liste de contrôle ", celui-ci pourrait également aider les médecins et les étudiants en médecine à faire bon usage de Facebook, Twitter, Doc2doc et autres réseaux sociaux.