L'étude de l'AIM démontre que "les deux systèmes de paiements ont pleinement leur place dans le paysage de l'ambulatoire en Belgique".

Ce modèle multidisciplinaire de première ligne fonctionne tant dans les villes que les campagnes.

Attirant prioritairement des populations plus vulnérables, "il n'en reste pas moins un modèle d'organisation de soins universel, et qu'une grande mixité sociale au sein de la même pratique de soins génère également de la solidarité entre les patients".

Le GBO recommande d'ailleurs les "5 P" : le paiement à la prestation (qui représente pour les praticiens à l'acte environ 80% de leurs revenus), le paiement à la pratique (impulséo II et III), le paiement par patient (DMG, TDS ), le paiement au prestataire (accréditation, statut social, HD... ) et le paiement à la performance. "La pratique au forfait à la capitation représente donc aussi, dans de nombreux cas, une alternative intéressante, tant pour les prestataires que pour les patients."

Le GBO invite donc la ministre "à intégrer tous ces aspects dans les recommandations qui sortiront sous peu de l'audit qu'elle a commandité sur le secteur des pratiques forfaitaires" car celles-ci attirent de plus en plus de jeunes.

L'étude de l'AIM démontre que "les deux systèmes de paiements ont pleinement leur place dans le paysage de l'ambulatoire en Belgique".Ce modèle multidisciplinaire de première ligne fonctionne tant dans les villes que les campagnes. Attirant prioritairement des populations plus vulnérables, "il n'en reste pas moins un modèle d'organisation de soins universel, et qu'une grande mixité sociale au sein de la même pratique de soins génère également de la solidarité entre les patients".Le GBO recommande d'ailleurs les "5 P" : le paiement à la prestation (qui représente pour les praticiens à l'acte environ 80% de leurs revenus), le paiement à la pratique (impulséo II et III), le paiement par patient (DMG, TDS ), le paiement au prestataire (accréditation, statut social, HD... ) et le paiement à la performance. "La pratique au forfait à la capitation représente donc aussi, dans de nombreux cas, une alternative intéressante, tant pour les prestataires que pour les patients."Le GBO invite donc la ministre "à intégrer tous ces aspects dans les recommandations qui sortiront sous peu de l'audit qu'elle a commandité sur le secteur des pratiques forfaitaires" car celles-ci attirent de plus en plus de jeunes.