Anne Martens avait soulevé le problème auprès du Conseil national de sécurité car à l'origine, seule l'adresse officielle des personnes en quarantaine était enregistrée. "Nous ne savions pas si les seconds résidents ou les touristes étaient mis en quarantaine chez eux ou s'ils se trouvaient, par exemple, à la Côte", explique Mme Martens. "Cela s'améliore déjà. On leur demande aussi désormais où ils auraient pu être infectés", ajoute-t-elle.

Les "traceurs" demandent donc également si la personne en question séjourne dans un hôtel, dans sa famille ou dans une maison de vacances. "De cette façon, nous savons déjà mieux qui séjourne en Flandre occidentale, par exemple", indique la gouverneure.

Il est également prévu que le formulaire électronique qu'un patient infecté remplit chez le médecin généraliste soit adapté, de sorte qu'une adresse résidentielle puisse y être indiquée en plus de l'adresse officielle.

Anne Martens avait soulevé le problème auprès du Conseil national de sécurité car à l'origine, seule l'adresse officielle des personnes en quarantaine était enregistrée. "Nous ne savions pas si les seconds résidents ou les touristes étaient mis en quarantaine chez eux ou s'ils se trouvaient, par exemple, à la Côte", explique Mme Martens. "Cela s'améliore déjà. On leur demande aussi désormais où ils auraient pu être infectés", ajoute-t-elle. Les "traceurs" demandent donc également si la personne en question séjourne dans un hôtel, dans sa famille ou dans une maison de vacances. "De cette façon, nous savons déjà mieux qui séjourne en Flandre occidentale, par exemple", indique la gouverneure. Il est également prévu que le formulaire électronique qu'un patient infecté remplit chez le médecin généraliste soit adapté, de sorte qu'une adresse résidentielle puisse y être indiquée en plus de l'adresse officielle.