"Dans notre pays, le virus de la grippe, hautement contagieux, fait chaque année des centaines de victimes qui décèdent à la suite de complications liées à la maladie", ont souligné les pharmaciens lors du lancement de la campagne. "Se faire vacciner est le meilleur moyen de se protéger soi-même mais aussi de ne pas infecter les autres. Cela permet de réduire le nombre de patients, les hospitalisations et même les décès."

La vaccination contre la grippe est recommandée à partir de la mi-octobre et au moins deux semaines avant l'épidémie annuelle, qui a généralement lieu en février.

La campagne veut également attirer l'attention de la population sur les pneumocoques, car le "groupe cible" de patients recoupe largement celui de la grippe. "Tout comme le virus de la grippe, la bactérie du pneumocoque peut être très agressive et causer de graves infections, comme la pneumonie", expliquent-t-ils. "Les complications peuvent également être fatales. La plupart des caisses d'assurance maladie remboursent partiellement le vaccin."

"Dans notre pays, le virus de la grippe, hautement contagieux, fait chaque année des centaines de victimes qui décèdent à la suite de complications liées à la maladie", ont souligné les pharmaciens lors du lancement de la campagne. "Se faire vacciner est le meilleur moyen de se protéger soi-même mais aussi de ne pas infecter les autres. Cela permet de réduire le nombre de patients, les hospitalisations et même les décès." La vaccination contre la grippe est recommandée à partir de la mi-octobre et au moins deux semaines avant l'épidémie annuelle, qui a généralement lieu en février. La campagne veut également attirer l'attention de la population sur les pneumocoques, car le "groupe cible" de patients recoupe largement celui de la grippe. "Tout comme le virus de la grippe, la bactérie du pneumocoque peut être très agressive et causer de graves infections, comme la pneumonie", expliquent-t-ils. "Les complications peuvent également être fatales. La plupart des caisses d'assurance maladie remboursent partiellement le vaccin."