Les professionnels pourront donc librement fixer leurs tarifs à partir du 1er janvier 2025. Le coût des soins risque donc d'augmenter pour certains patients.

Axxon explique que la convention M24 incluait onze engagements financiers et opérationnels pour 2024. Ils portaient notamment sur l'ajustement des honoraires, des tickets modérateurs et des frais de déplacement, la digitalisation, l'utilisation efficace des ressources dans des projets de soins appliqués et de prévention, ainsi que sur la transparence concernant le fonctionnement de l'Inami.

"Il serait plus juste de parler de 'promesses' plutôt que d'engagements, car six de ces points n'ont pas du tout été réalisés et les cinq autres ne l'ont été que partiellement", regrette l'association. "Une année entière de réunions en groupes de travail et commissions n'a abouti à aucun résultat concret."

Elle dénonce le manque de reconnaissance dont souffre la profession et souligne également la "grande incertitude" concernant l'objectif budgétaire partiel pour 2025. Dans ce contexte, Axxon a décidé de dénoncer la convention M24 afin de "protéger les intérêts" des kinésithérapeutes et de leurs patients. Les kinésithérapeutes pourront donc librement fixer leurs tarifs l'année prochaine.

L'association professionnelle reconnaît que le coût des soins de kinésithérapie pourront augmenter pour certains patients. "Toutefois, dans l'attente d'un nouvel accord négocié ou imposé, la mesure discriminatoire qui réduit de 25% le remboursement des patients soignés par un kinésithérapeute non conventionné sera supprimée", ajoute-t-elle. Axxon défend cette revendication par voie juridique depuis plusieurs années.

Les professionnels pourront donc librement fixer leurs tarifs à partir du 1er janvier 2025. Le coût des soins risque donc d'augmenter pour certains patients.Axxon explique que la convention M24 incluait onze engagements financiers et opérationnels pour 2024. Ils portaient notamment sur l'ajustement des honoraires, des tickets modérateurs et des frais de déplacement, la digitalisation, l'utilisation efficace des ressources dans des projets de soins appliqués et de prévention, ainsi que sur la transparence concernant le fonctionnement de l'Inami."Il serait plus juste de parler de 'promesses' plutôt que d'engagements, car six de ces points n'ont pas du tout été réalisés et les cinq autres ne l'ont été que partiellement", regrette l'association. "Une année entière de réunions en groupes de travail et commissions n'a abouti à aucun résultat concret."Elle dénonce le manque de reconnaissance dont souffre la profession et souligne également la "grande incertitude" concernant l'objectif budgétaire partiel pour 2025. Dans ce contexte, Axxon a décidé de dénoncer la convention M24 afin de "protéger les intérêts" des kinésithérapeutes et de leurs patients. Les kinésithérapeutes pourront donc librement fixer leurs tarifs l'année prochaine.L'association professionnelle reconnaît que le coût des soins de kinésithérapie pourront augmenter pour certains patients. "Toutefois, dans l'attente d'un nouvel accord négocié ou imposé, la mesure discriminatoire qui réduit de 25% le remboursement des patients soignés par un kinésithérapeute non conventionné sera supprimée", ajoute-t-elle. Axxon défend cette revendication par voie juridique depuis plusieurs années.