La prédécesseure de M. Peeters, Zuhal Demir, a créé ces centres en 2017 à Bruxelles, Liège et Gand. Les victimes peuvent s'adresser à ces institutions, reliées aux hôpitaux, pour passer des examens médicaux et des enquêtes médico-légales mais aussi bénéficier d'un traitement des traumatismes subis, des conseils et une assistance de la police et du ministère public.

Les centres fonctionnaient dans le cadre d'un projet-pilote qui s'arrêtait à la fin 2019. Un financement structurel a été trouvé à hauteur de 4,5 millions d'euros en plus d'un subside de la Loterie nationale d'1,5 million.

Depuis octobre 2017, ces centres ont accueilli 1.281 victimes, un nombre beaucoup plus important que prévu. Et 70% d'entre elles ont porté plainte alors que ce chiffre se situe habituellement aux alentours de 10% pour les violences sexuelles.

La prédécesseure de M. Peeters, Zuhal Demir, a créé ces centres en 2017 à Bruxelles, Liège et Gand. Les victimes peuvent s'adresser à ces institutions, reliées aux hôpitaux, pour passer des examens médicaux et des enquêtes médico-légales mais aussi bénéficier d'un traitement des traumatismes subis, des conseils et une assistance de la police et du ministère public. Les centres fonctionnaient dans le cadre d'un projet-pilote qui s'arrêtait à la fin 2019. Un financement structurel a été trouvé à hauteur de 4,5 millions d'euros en plus d'un subside de la Loterie nationale d'1,5 million. Depuis octobre 2017, ces centres ont accueilli 1.281 victimes, un nombre beaucoup plus important que prévu. Et 70% d'entre elles ont porté plainte alors que ce chiffre se situe habituellement aux alentours de 10% pour les violences sexuelles.