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Par rapport aux pays voisins, le nombre de donneurs de sperme était particulièrement bas en Belgique. Les listes d'attente pour une fécondation artificielle étaient très longues. Une femme qui souhaitait suivre une fécondation in vitro devait souvent patienter plusieurs mois. "Ces listes ne sont entre-temps plus d'actualité", indique l'andrologue Benny Verheyen, de l'UZA. "Toute personne qui vient pour un traitement, doit bien évidemment d'abord subir une batterie d'examens. Une fois ceux-ci réalisés, et si le patient est prêt, le traitement peut en principe commencer immédiatement."Plusieurs campagnes de sensibilisation ont contribué à augmenter le nombre d'hommes qui confient volontairement leur sperme à une des banques reconnues en Belgique.