De Tijd révélait mardi avoir consulté un échange de mails entre les hôpitaux en question et l'agence flamande. Il en ressort que les masques reçus ne sont pas de bonne qualité et ne sont pas certifiés. Ils ont été produits à destination de l'industrie et non du secteur des soins de santé.

"Ces masques buccaux ont été commandés au moment où il y avait une pénurie en Belgique. Nous les avons commandés à divers fournisseurs", rétorque M. Moonen. "Nous savions d'avance qu'il s'agissait de masques industriels, qui ne convenaient pas aux applications médicales. Le personnel soignant qui entre directement en contact avec les patients atteints de Covid-19 ne peut pas les utiliser."

Joris Moonen souligne qu'ils peuvent être utilisés par d'autres soignants. "Des infirmiers qui ont été malades par exemple et qui reviennent après guérison. Avec ces masques industriels, ils peuvent retravailler en toute sécurité."

De Tijd révélait mardi avoir consulté un échange de mails entre les hôpitaux en question et l'agence flamande. Il en ressort que les masques reçus ne sont pas de bonne qualité et ne sont pas certifiés. Ils ont été produits à destination de l'industrie et non du secteur des soins de santé. "Ces masques buccaux ont été commandés au moment où il y avait une pénurie en Belgique. Nous les avons commandés à divers fournisseurs", rétorque M. Moonen. "Nous savions d'avance qu'il s'agissait de masques industriels, qui ne convenaient pas aux applications médicales. Le personnel soignant qui entre directement en contact avec les patients atteints de Covid-19 ne peut pas les utiliser." Joris Moonen souligne qu'ils peuvent être utilisés par d'autres soignants. "Des infirmiers qui ont été malades par exemple et qui reviennent après guérison. Avec ces masques industriels, ils peuvent retravailler en toute sécurité."