"Je suis d'accord", a affirmé M. Geens sur les ondes de Radio 1 (VRT). A ses yeux, refédéraliser les soins de santé, comme l'ont suggéré dernièrement le sp.a et l'Open Vld, serait "un retour au passé".

"La Belgique fonctionne bien si l'on organise clairement les compétences, comme par exemple l'enseignement. Mais en temps de crise, des problèmes de coopération surgissent, notamment dans les domaines où les compétences ont été moins clairement définies, comme les soins de santé ou la justice", a commenté M. Geens, qui est aussi ministre de la Justice.

Il affirme qu'il existe désormais un consensus sur la nécessité d'une "unicité de commandement". Mais si certains partis, comme le sp.a et l'Open Vld, jugent qu'une refédéralisation des soins des santé est négociable, "ce n'est pas ce que nous pensons", confirme Koen Geens.

Une meilleure répartition des compétences et une réforme de l'État devraient à ses yeux être discutées lors de la formation d'un nouveau gouvernement. "Si à nouveau nous le réparons correctement, notre pays peut repartir pour 30 à 40 ans", a ajouté le ministre.

"Je suis d'accord", a affirmé M. Geens sur les ondes de Radio 1 (VRT). A ses yeux, refédéraliser les soins de santé, comme l'ont suggéré dernièrement le sp.a et l'Open Vld, serait "un retour au passé". "La Belgique fonctionne bien si l'on organise clairement les compétences, comme par exemple l'enseignement. Mais en temps de crise, des problèmes de coopération surgissent, notamment dans les domaines où les compétences ont été moins clairement définies, comme les soins de santé ou la justice", a commenté M. Geens, qui est aussi ministre de la Justice. Il affirme qu'il existe désormais un consensus sur la nécessité d'une "unicité de commandement". Mais si certains partis, comme le sp.a et l'Open Vld, jugent qu'une refédéralisation des soins des santé est négociable, "ce n'est pas ce que nous pensons", confirme Koen Geens. Une meilleure répartition des compétences et une réforme de l'État devraient à ses yeux être discutées lors de la formation d'un nouveau gouvernement. "Si à nouveau nous le réparons correctement, notre pays peut repartir pour 30 à 40 ans", a ajouté le ministre.