Le retour de Frank Vandenbroucke aux Affaires sociales et à la Santé publique la semaine dernière était de toutes les conversations. Ce n'est pas étonnant, compte tenu de son passé et de sa forte personnalité.
Celle-ci jouera d'ailleurs un rôle important dans la manière d'implémenter l'épais chapitre santé de la Déclaration gouvernementale.
En particulier, l'élaboration d'un plan générique de lutte contre la pandémie et la mise en place d'une gestion des risques plutôt que d'une gestion de crise est une tâche importante pour ce gouvernement.
Pour le reste, nous continuerons sur la même voie. Les objectifs de santé doivent être atteints, la prévention est essentielle et (surtout !) les soins de santé mentale bénéficient de nouveaux moyens financiers.
Les réseaux hospitaliers doivent être renforcés, les dépenses et le volume de médicaments doivent être réduits. Une première ligne meilleure et cohérente est bien sûr également incluse - avec une plus grande attention accordée aux pharmaciens par rapport aux médecins généralistes. Et l'approche sanitaire doit être fondée sur des preuves, sinon que diriez-vous ? La réforme de la Loi sur les professions de santé initiée par Maggie De Block n'a pas fait l'unanimité. Cet accord de coalition permet de bénéficier d'une seconde chance.
La question est de savoir si le VDB peut amener un changement dans ce gouvernement
Comme par le passé, les quotas de médecins peuvent susciter de nombreux débats, des controverses et apporter du carburant à la question communautaire. En fin de compte, la mise en place d'un organe consultatif interfédéral et l'alignement des quotas fédéraux sur les sous-quotas des États fédérés n'apporteront pas de soulagement immédiat.
Donc pas vraiment de grandes surprises. Mais le bilan de Vandenbroucke aux Affaires sociales pour la période 1999-2003 est encore impressionnant aujourd'hui. La question est de savoir si l'homme réussira à faire changer ce gouvernement.
Celle-ci jouera d'ailleurs un rôle important dans la manière d'implémenter l'épais chapitre santé de la Déclaration gouvernementale.En particulier, l'élaboration d'un plan générique de lutte contre la pandémie et la mise en place d'une gestion des risques plutôt que d'une gestion de crise est une tâche importante pour ce gouvernement.Pour le reste, nous continuerons sur la même voie. Les objectifs de santé doivent être atteints, la prévention est essentielle et (surtout !) les soins de santé mentale bénéficient de nouveaux moyens financiers.Les réseaux hospitaliers doivent être renforcés, les dépenses et le volume de médicaments doivent être réduits. Une première ligne meilleure et cohérente est bien sûr également incluse - avec une plus grande attention accordée aux pharmaciens par rapport aux médecins généralistes. Et l'approche sanitaire doit être fondée sur des preuves, sinon que diriez-vous ? La réforme de la Loi sur les professions de santé initiée par Maggie De Block n'a pas fait l'unanimité. Cet accord de coalition permet de bénéficier d'une seconde chance. La question est de savoir si le VDB peut amener un changement dans ce gouvernementComme par le passé, les quotas de médecins peuvent susciter de nombreux débats, des controverses et apporter du carburant à la question communautaire. En fin de compte, la mise en place d'un organe consultatif interfédéral et l'alignement des quotas fédéraux sur les sous-quotas des États fédérés n'apporteront pas de soulagement immédiat.Donc pas vraiment de grandes surprises. Mais le bilan de Vandenbroucke aux Affaires sociales pour la période 1999-2003 est encore impressionnant aujourd'hui. La question est de savoir si l'homme réussira à faire changer ce gouvernement.
