En Belgique, une personne sur huit rapporte vivre dans un bâtiment nocif, selon une enquête diligentée par Velux dont les conclusions sont indépendantes. Les Belges qui habitent dans un logement trop humide sont 65% plus nombreux à déclarer avoir des problèmes de santé que ceux vivant dans un logement sain et bien aéré. Ils sont aussi 79 % plus nombreux à se dire en mauvaise santé dans une habitation manquant de lumière versus un logement avec de la lumière naturelle en abondance.
C'est une des conclusions d'un rapport composé par trois agences et centre de recherches indépendants Ecofys, Fraunhofer IBP, et Copenhagen Economics, qui ont croisé les statistiques d'Eurostat et de l'OCDE. L'enquête a été menée auprès de 12.000 Européens et plus de 200 publications scientifiques. Ce rapport, "Healthy Homes Barometer 2017", commandé par l'entreprise Velux, sera présenté au Parlement européen ce mercredi.
Les personnes vivant dans des bâtiments en mauvais état sont presque deux fois plus susceptibles d'avoir des problèmes de santé dus au bâtiment dans lequel elles vivent.
Leurs risques de souffrir d'asthme, par exemple, sont 40% plus élevés que pour les autres belges.
Le Healthy Homes Barometer 2017 examine par ailleurs le niveau de capital privé disponible pour les rénovations dans les États membres de l'UE - 30 billions d'euros - et ce qui serait nécessaire pour aider à débloquer une partie de ce montant pour l'investir dans la rénovation. Et indirectement dans la santé.
(avec Belga)
C'est une des conclusions d'un rapport composé par trois agences et centre de recherches indépendants Ecofys, Fraunhofer IBP, et Copenhagen Economics, qui ont croisé les statistiques d'Eurostat et de l'OCDE. L'enquête a été menée auprès de 12.000 Européens et plus de 200 publications scientifiques. Ce rapport, "Healthy Homes Barometer 2017", commandé par l'entreprise Velux, sera présenté au Parlement européen ce mercredi.Les personnes vivant dans des bâtiments en mauvais état sont presque deux fois plus susceptibles d'avoir des problèmes de santé dus au bâtiment dans lequel elles vivent.Leurs risques de souffrir d'asthme, par exemple, sont 40% plus élevés que pour les autres belges.Le Healthy Homes Barometer 2017 examine par ailleurs le niveau de capital privé disponible pour les rénovations dans les États membres de l'UE - 30 billions d'euros - et ce qui serait nécessaire pour aider à débloquer une partie de ce montant pour l'investir dans la rénovation. Et indirectement dans la santé. (avec Belga)