Le Cimacs qui sortira de terre prochainement pour défendre les intérêts des médecins assistants cliniciens candidats spécialistes en formation (Maccs) fait-il double emploi avec le Vaso-AMSF, l'Association des médecins spécialistes en formation, plus ancienne ?

On n'a pu le lire çà et là sur les réseaux sociaux mais le Dr Jérôme Lechien précise qu'il n'en serait rien. Car "depuis la dernière réforme de l'Etat, il y a eu régionalisation au niveau des communautés des compétences relatives aux formations des assistants: avant, le master complémentaire de chirurgie par exemple était national, maintenant, c'est communautarisé: francophones, néerlandophones".

Selon le futur président du Cimacs, les problématiques rencontrées par les francophones et les néerlandophones sont parfois différentes. "On est, par exemple plus en pénurie que les néerlandophones et on doit gérer une double cohorte bien plus conséquente, ce qui mène forcément à des adaptations différentes."

Pour Lechien, "se regrouper au niveau francophone permettra de mieux nous coordonner et articuler nos demandes vis à vis de l'AMSF où pour être honnête, il n'y a aucun francophones d'actifs..."

Le Cimacs qui sortira de terre prochainement pour défendre les intérêts des médecins assistants cliniciens candidats spécialistes en formation (Maccs) fait-il double emploi avec le Vaso-AMSF, l'Association des médecins spécialistes en formation, plus ancienne ? On n'a pu le lire çà et là sur les réseaux sociaux mais le Dr Jérôme Lechien précise qu'il n'en serait rien. Car "depuis la dernière réforme de l'Etat, il y a eu régionalisation au niveau des communautés des compétences relatives aux formations des assistants: avant, le master complémentaire de chirurgie par exemple était national, maintenant, c'est communautarisé: francophones, néerlandophones".Selon le futur président du Cimacs, les problématiques rencontrées par les francophones et les néerlandophones sont parfois différentes. "On est, par exemple plus en pénurie que les néerlandophones et on doit gérer une double cohorte bien plus conséquente, ce qui mène forcément à des adaptations différentes."Pour Lechien, "se regrouper au niveau francophone permettra de mieux nous coordonner et articuler nos demandes vis à vis de l'AMSF où pour être honnête, il n'y a aucun francophones d'actifs..."