Le chef des urgences de la clinique de Libramont a confié, dans les colonnes de Sudpresse mardi, ne pas porter en permanence un masque. "J'ai toujours mon masque autour du cou, mais je ne le mets que face aux personnes à risque", avait-il déclaré.

La direction de Vivalia explique avoir découvert l'attitude du médecin à la suite de la publication de ses propos dans la presse.

"Vivalia se désolidarise de tels propos et nous ne pouvons pas les accepter venant d'un médecin", a assuré le directeur général de l'intercommunale, Yves Bernard, rappelant que le port du masque est l'un des gestes barrières pour lutter contre l'épidémie de coronavirus.

Deux décisions ont déjà été prises par l'intercommunale: d'une part, le médecin est écarté de la cellule de crise du CHA et d'autre part, il est écarté de sa fonction de chef de service.

A son retour de convalescence, le médecin urgentiste sera entendu par les instances médicales avant qu'une autre décision soit éventuellement prise à son égard.

Belga

Le chef des urgences de la clinique de Libramont a confié, dans les colonnes de Sudpresse mardi, ne pas porter en permanence un masque. "J'ai toujours mon masque autour du cou, mais je ne le mets que face aux personnes à risque", avait-il déclaré. La direction de Vivalia explique avoir découvert l'attitude du médecin à la suite de la publication de ses propos dans la presse. "Vivalia se désolidarise de tels propos et nous ne pouvons pas les accepter venant d'un médecin", a assuré le directeur général de l'intercommunale, Yves Bernard, rappelant que le port du masque est l'un des gestes barrières pour lutter contre l'épidémie de coronavirus. Deux décisions ont déjà été prises par l'intercommunale: d'une part, le médecin est écarté de la cellule de crise du CHA et d'autre part, il est écarté de sa fonction de chef de service. A son retour de convalescence, le médecin urgentiste sera entendu par les instances médicales avant qu'une autre décision soit éventuellement prise à son égard.Belga