86 % des directeurs généraux et directeurs médicaux des hôpitaux belges souhaitent que les soins de santé soient refédéralisés, contre 14% qui plaident pour une régionalisation accrue. La quasi-totalité rejette la présence de neuf ministres de la Santé.

Nonante pourcents des responsables hospitaliers assurent avoir trouvé suffisamment d'expertise au sein de leur institution pour affronter l'épidémie de Covid­19 ; 94 % se disaient aussi mieux préparés à d'autres épisodes épidémiques, grâce à l'expérience de la première vague.

La crise du coronavirus a eu un impact extrêmement important sur le fonctionnement des hôpitaux, avec un impact négatif sur la qualité des soins notamment en cardiologie (68%), en oncologie (57%) ou en neurologie (50%).

Pour 6% des hôpitaux, leur chiffre d'affaires a diminué d'au moins 40%. Un hôpital sur six estime, sur base des informations disponibles en septembre, cette réduction de son chiffre d'affaires entre 30% et 40%; un hôpital sur quatre le situe à 25%. Seuls 2% des répondants disent être sortis indemnes de la pandémie.

Un questionnaire a été diffusé entre le 2 et le 28 septembre derniers, en période d'accalmie, donc, auprès des membres de l'Association belge des directeurs d'hôpitaux (ABDH), de l'Association francophone des médecins-­chefs, des médecins ­directeurs et des directeurs médicaux (AFMC) et de la Vlaamse Vereniging van Hoofdgeneesheren (VVH).

62 directeurs généraux et médicaux représentant 35 hôpitaux généraux,cinq hôpitaux universitaires et neuf hôpitaux psychiatriques y ont répondu, dans l'ensemble du pays à l'exception de la province de Luxembourg.

Retrouvez tous les résultats de notre enquête dans le journal du Médecin du 11 novembre, Le Vif/L'Express/Knack et Trends/Trends-Tendance.

86 % des directeurs généraux et directeurs médicaux des hôpitaux belges souhaitent que les soins de santé soient refédéralisés, contre 14% qui plaident pour une régionalisation accrue. La quasi-totalité rejette la présence de neuf ministres de la Santé.Nonante pourcents des responsables hospitaliers assurent avoir trouvé suffisamment d'expertise au sein de leur institution pour affronter l'épidémie de Covid­19 ; 94 % se disaient aussi mieux préparés à d'autres épisodes épidémiques, grâce à l'expérience de la première vague.La crise du coronavirus a eu un impact extrêmement important sur le fonctionnement des hôpitaux, avec un impact négatif sur la qualité des soins notamment en cardiologie (68%), en oncologie (57%) ou en neurologie (50%).Pour 6% des hôpitaux, leur chiffre d'affaires a diminué d'au moins 40%. Un hôpital sur six estime, sur base des informations disponibles en septembre, cette réduction de son chiffre d'affaires entre 30% et 40%; un hôpital sur quatre le situe à 25%. Seuls 2% des répondants disent être sortis indemnes de la pandémie.Un questionnaire a été diffusé entre le 2 et le 28 septembre derniers, en période d'accalmie, donc, auprès des membres de l'Association belge des directeurs d'hôpitaux (ABDH), de l'Association francophone des médecins-­chefs, des médecins ­directeurs et des directeurs médicaux (AFMC) et de la Vlaamse Vereniging van Hoofdgeneesheren (VVH). 62 directeurs généraux et médicaux représentant 35 hôpitaux généraux,cinq hôpitaux universitaires et neuf hôpitaux psychiatriques y ont répondu, dans l'ensemble du pays à l'exception de la province de Luxembourg.Retrouvez tous les résultats de notre enquête dans le journal du Médecin du 11 novembre, Le Vif/L'Express/Knack et Trends/Trends-Tendance.