M. Djalali, un spécialiste de la médecine d'urgence résidant en Suède et qui été professeur invité à l'Université libre flamande de Bruxelles (VUB, Vrije Universiteit Brussel), a été arrêté en avril 2016 sous l'accusation d'intelligence avec le Mossad, le service du renseignement extérieur israélien. Selon Téhéran, il serait lié à l'assassinat de deux responsables du programme nucléaire iranien tués par des bombes collées à leur voiture il y a quelques années.

Il a été condamné à mort le 21 octobre dernier au terme d'un procès jugé non équitable par quatre rapporteurs de l'ONU, qui ont appelé en décembre l'Iran à annuler "immédiatement" cette condamnation à mort et à une remise en liberté l'universitaire iranien.

Sa peine a toutefois été confirmée début décembre par la Cour suprême iranienne en dépit d'un vaste mouvement de soutien international et en Belgique.

Selon Me Chichaoui, cette peine avait été un moment "suspendu" en raison d'un appel de M. Djalali. Mais cet appel a été rejeté, a expliqué l'avocat, citant les propos d'un collègue iranien à l'épouse du professeur.

"Cette fois, la sentence est définitive. La peine capitale a été déclaré exécutable et cela peut se produire à n'importe quel moment", a-t-il ajouté, en dénonçant une nouvelle fois un procès inéquitable.

M. Djalali, un spécialiste de la médecine d'urgence résidant en Suède et qui été professeur invité à l'Université libre flamande de Bruxelles (VUB, Vrije Universiteit Brussel), a été arrêté en avril 2016 sous l'accusation d'intelligence avec le Mossad, le service du renseignement extérieur israélien. Selon Téhéran, il serait lié à l'assassinat de deux responsables du programme nucléaire iranien tués par des bombes collées à leur voiture il y a quelques années.Il a été condamné à mort le 21 octobre dernier au terme d'un procès jugé non équitable par quatre rapporteurs de l'ONU, qui ont appelé en décembre l'Iran à annuler "immédiatement" cette condamnation à mort et à une remise en liberté l'universitaire iranien.Sa peine a toutefois été confirmée début décembre par la Cour suprême iranienne en dépit d'un vaste mouvement de soutien international et en Belgique.Selon Me Chichaoui, cette peine avait été un moment "suspendu" en raison d'un appel de M. Djalali. Mais cet appel a été rejeté, a expliqué l'avocat, citant les propos d'un collègue iranien à l'épouse du professeur."Cette fois, la sentence est définitive. La peine capitale a été déclaré exécutable et cela peut se produire à n'importe quel moment", a-t-il ajouté, en dénonçant une nouvelle fois un procès inéquitable.