À partir d'une méthode participative et de débats organisés à Liège, Namur et Bruxelles, 23 associations de patients ont été impliquées dans la rédaction du mémorandum.

La note encourage notamment une dynamique participative et suggère d'impliquer la société civile dans les débats. Ainsi, soutenir le volontariat, développer et soutenir le conseil consultatif des aînés, des personnes handicapées et des maisons de repos font notamment partie du premier axe de proposition.

Le développement d'une mobilité pour tous ou encore l'accès à l'information sont également des points majeurs de revendications.

"Les communes et les provinces doivent être en mesure d'informer les citoyens sur leurs droits sociaux liés à la santé, au handicap, à la maladie chronique, au grand âge, sur les démarches à effectuer en ce qui concerne le don d'organe, l'euthanasie. Elles peuvent jouer un rôle au niveau de l'information sur l'existence et les missions des associations présentes sur leur territoire", explique-t-on à la LUSS.

Par ailleurs, le mémorandum milite pour des communes et des provinces "pro-santé" via notamment la mise en place d'un échevinat de la santé qui devrait pouvoir intervenir au niveau de compétences plus larges impactant la santé, telles que l'environnement, l'urbanisme ou encore le logement. Cette volonté passe aussi par le renforcement des actions et des budgets alloués aux CPAS.

Enfin, les associations attirent une attention particulière que les enjeux de fracture numérique et demandent aux communes de développer des services d'aide de proximité.

À partir d'une méthode participative et de débats organisés à Liège, Namur et Bruxelles, 23 associations de patients ont été impliquées dans la rédaction du mémorandum. La note encourage notamment une dynamique participative et suggère d'impliquer la société civile dans les débats. Ainsi, soutenir le volontariat, développer et soutenir le conseil consultatif des aînés, des personnes handicapées et des maisons de repos font notamment partie du premier axe de proposition. Le développement d'une mobilité pour tous ou encore l'accès à l'information sont également des points majeurs de revendications."Les communes et les provinces doivent être en mesure d'informer les citoyens sur leurs droits sociaux liés à la santé, au handicap, à la maladie chronique, au grand âge, sur les démarches à effectuer en ce qui concerne le don d'organe, l'euthanasie. Elles peuvent jouer un rôle au niveau de l'information sur l'existence et les missions des associations présentes sur leur territoire", explique-t-on à la LUSS. Par ailleurs, le mémorandum milite pour des communes et des provinces "pro-santé" via notamment la mise en place d'un échevinat de la santé qui devrait pouvoir intervenir au niveau de compétences plus larges impactant la santé, telles que l'environnement, l'urbanisme ou encore le logement. Cette volonté passe aussi par le renforcement des actions et des budgets alloués aux CPAS. Enfin, les associations attirent une attention particulière que les enjeux de fracture numérique et demandent aux communes de développer des services d'aide de proximité.