La composante médicale de l'armée mettra en principe fin dimanche à sa présence dans les maisons de repos et maisons de repos et de soins (MR-MRS) confrontées au coronavirus, mais a débuté jeudi un soutien à l'administration des tests de salive et des tests naso-pharyngés dans différents centres de triage en Belgique, a annoncé le ministre de la Défense, Philippe Goffin.
Le soutien aux MR-MRS cessera a priori le 7 juin, a-t-il indiqué mercredi en commission de la Défense de la Chambre.
Des ambulanciers et brancardiers de la composante médicale provenant des 2e et 3e Éléments médicaux d'Intervention (EMI), respectivement basés à Bourg-Léopold (Limbourg) et Marche-en-Famenne, mais aussi du 14e bataillon médical de Peutie (Vilvorde) et de l'Hôpital militaire Reine Astrid (HMRA) de Neder-over-Heembeek, étaient intervenus à partir de début avril dans une bonne trentaine de maisons de repos des trois Régions.
M. Goffin (MR) et le chef de la Défense (Chod), le général Marc Compernol, ont en revanche annoncé que la composante médicale apporte depuis jeudi son soutien à l'administration des tests de salive et des tests naso-pharyngés dans différents centres de triage en Belgique.
Une infirmière et deux ambulanciers par centre de triage ont été sélectionnés et formés pour réaliser ces tests. Ils proviennent de l'Hôpital militaire, du 14e bataillon médical et des 2 et 3 EMI.
"L'objectif est de tester 6000 personnes dans 16 centres de triage différents en deux semaines", ont précisé le ministre et le "patron" de l'armée dans un communiqué commun.
Ces tests font partie d'une étude menée par plusieurs universités, étude commandée par la Task Force (TF) Covid-19 du ministre Philippe De Backer, dans le but d'évaluer si les tests de salive pourraient être aussi fiables (ou suffisamment fiables) que les tests naso-pharyngés classiques, ont-ils souligné.
Le soutien aux MR-MRS cessera a priori le 7 juin, a-t-il indiqué mercredi en commission de la Défense de la Chambre. Des ambulanciers et brancardiers de la composante médicale provenant des 2e et 3e Éléments médicaux d'Intervention (EMI), respectivement basés à Bourg-Léopold (Limbourg) et Marche-en-Famenne, mais aussi du 14e bataillon médical de Peutie (Vilvorde) et de l'Hôpital militaire Reine Astrid (HMRA) de Neder-over-Heembeek, étaient intervenus à partir de début avril dans une bonne trentaine de maisons de repos des trois Régions. M. Goffin (MR) et le chef de la Défense (Chod), le général Marc Compernol, ont en revanche annoncé que la composante médicale apporte depuis jeudi son soutien à l'administration des tests de salive et des tests naso-pharyngés dans différents centres de triage en Belgique. Une infirmière et deux ambulanciers par centre de triage ont été sélectionnés et formés pour réaliser ces tests. Ils proviennent de l'Hôpital militaire, du 14e bataillon médical et des 2 et 3 EMI. "L'objectif est de tester 6000 personnes dans 16 centres de triage différents en deux semaines", ont précisé le ministre et le "patron" de l'armée dans un communiqué commun. Ces tests font partie d'une étude menée par plusieurs universités, étude commandée par la Task Force (TF) Covid-19 du ministre Philippe De Backer, dans le but d'évaluer si les tests de salive pourraient être aussi fiables (ou suffisamment fiables) que les tests naso-pharyngés classiques, ont-ils souligné.