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Cette célébration s'inscrit dans une année de festivités, avec un programme académique, scientifique et convivial. Dès demain, une soirée du personnel lancera les festivités, et l'événement culminera le 20 septembre 2025. La clinique tient à célébrer son rôle d'acteur clé du paysage économique namurois, marquant son ancrage avec éclat.Sous l'impulsion de son directeur général, Adrien Dufour, la clinique choisit de voir l'avenir avec optimisme, malgré les turbulences récentes. Les " turbulences " évoquées par la Clinique Saint-Luc Bouge à l'occasion de ses 50 ans renvoient principalement aux défis récents qu'elle a dû affronter, notamment dans le contexte de la pandémie de Covid-19. Comme beaucoup d'établissements de santé, la clinique a dû gérer l'impact considérable de cette crise sanitaire, qui a entraîné des adaptations rapides dans les soins prodigués et la prise en charge des patients. Parmi ces défis, le "Covid long" a représenté un enjeu important, avec des patients souffrant de symptômes persistants nécessitant des soins spécifiques et des protocoles de rééducation sur mesure." Le quotidien est parfois difficile, mais notre optimisme de but reste notre boussole ", affirme le DG. Cet état d'esprit est symbolisé par une fresque signée Isabelle Bourlon, mettant l'accent sur l'importance de l'humain.Enfin, la Clinique innove encore avec le déploiement d'un nouveau Dossier Patient Informatisé (DPI), un outil qui promet de libérer du temps pour les soignants et de renforcer la coordination des soins. " C'est une première étape dans notre quête de soins toujours plus optimisés ", conclut Dufour. Le DPI, symbole de ce futur "qu'on embrasse avec confiance", s'inscrit parfaitement dans la vision à long terme de la Clinique...