La neurochirurgienne de 51 ans avait étouffé l'adolescente le 26 juillet 2017.

Les douze jurés et trois juges ont tenu compte de la gravité des faits et des souffrances infligées aux proches de la victime, d'après leur arrêt. Ils ont néanmoins également attribué des circonstances atténuantes à l'accusée. Casier judiciaire "impeccable" et une "grande conscience de culpabilité", mais aussi un environnement dramatique depuis la petite enfance, a souligné le président de la cour Peter Hartoch.

Mehrnaz Didgar sera soumise à un sursis de cinq ans. Les membres du jury ont posé quatre conditions de probation: elle ne pourra pas commettre de nouveaux faits, devra avoir un domicile fixe, elle devra suivre un traitement médical et psychologique, et cela dans un centre psychiatrique dans un premier temps.

En théorie, Mehrnaz Didgar devait être libérée directement après le verdict. Mais vu l'heure tardive, les formalités ne pouvaient plus être remplies à la prison de Hasselt.

La neurochirurgienne de 51 ans avait étouffé l'adolescente le 26 juillet 2017. Les douze jurés et trois juges ont tenu compte de la gravité des faits et des souffrances infligées aux proches de la victime, d'après leur arrêt. Ils ont néanmoins également attribué des circonstances atténuantes à l'accusée. Casier judiciaire "impeccable" et une "grande conscience de culpabilité", mais aussi un environnement dramatique depuis la petite enfance, a souligné le président de la cour Peter Hartoch. Mehrnaz Didgar sera soumise à un sursis de cinq ans. Les membres du jury ont posé quatre conditions de probation: elle ne pourra pas commettre de nouveaux faits, devra avoir un domicile fixe, elle devra suivre un traitement médical et psychologique, et cela dans un centre psychiatrique dans un premier temps. En théorie, Mehrnaz Didgar devait être libérée directement après le verdict. Mais vu l'heure tardive, les formalités ne pouvaient plus être remplies à la prison de Hasselt.