La résolution a été introduite par Nathalie Muylle (CD&V) et cosignée par Daniel Bacquelaine (MR), Jean-François Gatelier (Les Engagés), Irina De Knop (Open Vld), Kathleen Depoorter (N-VA). Elle s'inscrit dans la continuité d'une table ronde organisée en octobre 2022 et d'un testing des facteurs de risque cardiovasculaires mené en juin 2023.

Parmi les 19 recommandations figurent, outre le plan national, l'amélioration de la collecte de données officielles sur les maladies cardiovasculaires, aujourd'hui lacunaires; le développement de stratégies de dépistage systématique, notamment via le soutien aux médecins généralistes et aux pharmaciens; et la mise en place d'outils pratiques pour identifier les patients à risque, avec une attention particulière pour les personnes souffrant d'une maladie athéroscléreuse cardiovasculaire (ASCVD).

En Belgique, chaque jour, 30 personnes sont victimes d'un arrêt cardiaque, mais seuls 15 % des citoyens savent comment réagir.

"Ce décalage entre la gravité de la situation et l'absence de formation des citoyens est inacceptable. Les statistiques de survie après un arrêt cardiaque dans notre pays sont parmi les plus faibles d'Europe. La France et les Pays-Bas montrent qu'une stratégie nationale ambitieuse peut faire une réelle différence. La prévention et la prise en charge des maladies cardiovasculaires doivent devenir aussi une priorité chez nous", a expliqué le Dr Bacquelaine.

La résolution a été introduite par Nathalie Muylle (CD&V) et cosignée par Daniel Bacquelaine (MR), Jean-François Gatelier (Les Engagés), Irina De Knop (Open Vld), Kathleen Depoorter (N-VA). Elle s'inscrit dans la continuité d'une table ronde organisée en octobre 2022 et d'un testing des facteurs de risque cardiovasculaires mené en juin 2023.Parmi les 19 recommandations figurent, outre le plan national, l'amélioration de la collecte de données officielles sur les maladies cardiovasculaires, aujourd'hui lacunaires; le développement de stratégies de dépistage systématique, notamment via le soutien aux médecins généralistes et aux pharmaciens; et la mise en place d'outils pratiques pour identifier les patients à risque, avec une attention particulière pour les personnes souffrant d'une maladie athéroscléreuse cardiovasculaire (ASCVD).En Belgique, chaque jour, 30 personnes sont victimes d'un arrêt cardiaque, mais seuls 15 % des citoyens savent comment réagir."Ce décalage entre la gravité de la situation et l'absence de formation des citoyens est inacceptable. Les statistiques de survie après un arrêt cardiaque dans notre pays sont parmi les plus faibles d'Europe. La France et les Pays-Bas montrent qu'une stratégie nationale ambitieuse peut faire une réelle différence. La prévention et la prise en charge des maladies cardiovasculaires doivent devenir aussi une priorité chez nous", a expliqué le Dr Bacquelaine.