Avec un taux de vaccination (première dose) de la population adulte de 4,5% en date du 23 février, elle est en dessous de la moyenne européenne (4,8%) et loin des résultats obtenus par Malte (10,6%), la Finlande (6,4%) ou encore la Pologne (5,9%). On se situe en revanche à un niveau assez proche de celui de nos grands voisins (Allemagne 4,9%, France 4,8%).

"Nous avons toujours été très stricts sur le respect de l'intervalle d'administration entre les deux doses. Certains pays n'ont en outre pas constitué de réserve pour la deuxième dose, pariant sur le fait que les livraisons de vaccins suivraient de manière régulière. Cela leur permet de vacciner plus vite mais c'est un coup de poker. Nos hôpitaux ont préféré jouer la sécurité", justifie Sabine Stordeur, project manager de la task force vaccination.

Avec Belga

Avec un taux de vaccination (première dose) de la population adulte de 4,5% en date du 23 février, elle est en dessous de la moyenne européenne (4,8%) et loin des résultats obtenus par Malte (10,6%), la Finlande (6,4%) ou encore la Pologne (5,9%). On se situe en revanche à un niveau assez proche de celui de nos grands voisins (Allemagne 4,9%, France 4,8%). "Nous avons toujours été très stricts sur le respect de l'intervalle d'administration entre les deux doses. Certains pays n'ont en outre pas constitué de réserve pour la deuxième dose, pariant sur le fait que les livraisons de vaccins suivraient de manière régulière. Cela leur permet de vacciner plus vite mais c'est un coup de poker. Nos hôpitaux ont préféré jouer la sécurité", justifie Sabine Stordeur, project manager de la task force vaccination.Avec Belga