Le médecin français René Théophile Hyacinthe Laennec inventa, en 1816, le stéthoscope. Pionner du diagnostic médical, c'est lui qui a inspiré le nom de la nouvelle construction du campus bruxellois de l'UCL.

Afin de mieux comprendre les mécanismes sous-jacents aux maladies, 240 scientifiques pluridisciplinaires - auparavant disséminés dans divers bâtiments - mèneront désormais des recherches conjointes en oncologie, toxicologie, immunologie et recherche cardiovasculaire. In fine, l'objectif est de parvenir à développer de nouvelles approches diagnostiques et thérapeutiques. Les chercheurs travailleront également étroitement avec les Cliniques universitaires Saint-Luc.

Sur une superficie totale de 5.136 m², la Tour Laennec accueillera des cabinets de consultation en médecine générale au rez-de-chaussée, ainsi que les locaux de l'Institut de recherche expérimentale et clinique (Irec).

"La nature n'a que faire des barrières disciplinaires", souligne le Pr Jean-Luc Balligand, président de l'Irec. Le nouvel édifice permet "la continuité entre la recherche fondamentale et clinique grâce, notamment, à des passerelles vers les autres tours de recherche", s'enthousiasme M. Balligand. "C'est de ce décloisonnement qu'émergera l'innovation."

"Nous accueillerons des assistants en médecine générale, des professeurs et des chercheurs. Ce concept d'entité académique est nouveau: c'est une première en Belgique francophone", se réjouit pour sa part le Dr Cassian Minguet, responsable du Centre académique de médecine générale (CAMG), qui prend ses quartiers au rez-de-chaussée.

Le projet, né d'un partenariat financier entre l'Université et les Cliniques Saint-Luc et soutenu par la Banque européenne d'investissement, a coûté 11,38 millions d'euros.

Le médecin français René Théophile Hyacinthe Laennec inventa, en 1816, le stéthoscope. Pionner du diagnostic médical, c'est lui qui a inspiré le nom de la nouvelle construction du campus bruxellois de l'UCL. Afin de mieux comprendre les mécanismes sous-jacents aux maladies, 240 scientifiques pluridisciplinaires - auparavant disséminés dans divers bâtiments - mèneront désormais des recherches conjointes en oncologie, toxicologie, immunologie et recherche cardiovasculaire. In fine, l'objectif est de parvenir à développer de nouvelles approches diagnostiques et thérapeutiques. Les chercheurs travailleront également étroitement avec les Cliniques universitaires Saint-Luc. Sur une superficie totale de 5.136 m², la Tour Laennec accueillera des cabinets de consultation en médecine générale au rez-de-chaussée, ainsi que les locaux de l'Institut de recherche expérimentale et clinique (Irec). "La nature n'a que faire des barrières disciplinaires", souligne le Pr Jean-Luc Balligand, président de l'Irec. Le nouvel édifice permet "la continuité entre la recherche fondamentale et clinique grâce, notamment, à des passerelles vers les autres tours de recherche", s'enthousiasme M. Balligand. "C'est de ce décloisonnement qu'émergera l'innovation." "Nous accueillerons des assistants en médecine générale, des professeurs et des chercheurs. Ce concept d'entité académique est nouveau: c'est une première en Belgique francophone", se réjouit pour sa part le Dr Cassian Minguet, responsable du Centre académique de médecine générale (CAMG), qui prend ses quartiers au rez-de-chaussée. Le projet, né d'un partenariat financier entre l'Université et les Cliniques Saint-Luc et soutenu par la Banque européenne d'investissement, a coûté 11,38 millions d'euros.