Les principaux représentants de la médecine générale, excepté l'Absym, reconnaissent que les autorités ont voulu encourager la pratique en réseau et les échanges de données médicales. "Malheureusement, la lune de miel entre les professionnels et les responsables de e-health n'a pas duré."

Citant une consoeur, les représentants des MG soulignent "qu'on impose aux médecins d'être performants avec un système qui ne l'est pas ! Or, de plus en plus, nous sommes devenus dépendants des systèmes mis en place. Il devient difficile de pratiquer sans pouvoir faire nos ordonnances par voie informatique ; de la même façon, la facturation des consultations en tiers payant, qui offre un grand confort au médecin et au patient, est devenue un des outils dont, pour beaucoup, il serait difficile de se passer".

La transition numérique "doit pouvoir se faire dans un climat serein et dans une relation constructive et respectueuse entre prestataires et responsables techniques et politiques". Les généralistes de tout le pays "demandent que ces changements puissent être correctement encadrés", et que les bénéfices de cette transition "soient correctement évalués".

Les MG demandent dès lors que les obligations instaurées par les autorités fédérales le soient "dans le dialogue et après des tests de fiabilité à grande échelle".

Les principaux représentants de la médecine générale, excepté l'Absym, reconnaissent que les autorités ont voulu encourager la pratique en réseau et les échanges de données médicales. "Malheureusement, la lune de miel entre les professionnels et les responsables de e-health n'a pas duré." Citant une consoeur, les représentants des MG soulignent "qu'on impose aux médecins d'être performants avec un système qui ne l'est pas ! Or, de plus en plus, nous sommes devenus dépendants des systèmes mis en place. Il devient difficile de pratiquer sans pouvoir faire nos ordonnances par voie informatique ; de la même façon, la facturation des consultations en tiers payant, qui offre un grand confort au médecin et au patient, est devenue un des outils dont, pour beaucoup, il serait difficile de se passer". La transition numérique "doit pouvoir se faire dans un climat serein et dans une relation constructive et respectueuse entre prestataires et responsables techniques et politiques". Les généralistes de tout le pays "demandent que ces changements puissent être correctement encadrés", et que les bénéfices de cette transition "soient correctement évalués".Les MG demandent dès lors que les obligations instaurées par les autorités fédérales le soient "dans le dialogue et après des tests de fiabilité à grande échelle".