Mais peut-on imaginer aujourd'hui une absence d'ordinateurs pour gérer l'admission, la facturation des soins très complexe dans notre pays, la gestion des stocks pharmaceutiques et logistiques, le fonctionnement des laboratoires, la paie du personnel et bien d'autres fonctions dont les professionnels hospitaliers n'ont même plus conscience ?

Les informaticiens bien souvent avec quelques médecins ou infirmières se sont attaqués à la gestion des informations médicales tant en communication directe qu'en archivage.

La complexité et la variété de ces informations souvent non structurées ont contribué à la méfiance et au progressif rejet des instruments de l'informatique et de ses exigences formalisées par la nécessité d'une nouvelle organisation dans l'écriture, la codification et la hiérarchie des informations médicales.

Ces difficultés et la nécessité d'investir financièrement beaucoup plus que ce que le budget des moyens financiers permet de réaliser dans le domaine de l'informatique ont entraîné des retards et des approximations nuisibles au développement de nouvelles technologies indispensables pour accélérer et fiabiliser les communications et la réalisation d'un dossier médical informatisé permettant la transmission d'informations vers les autres applications indispensables au bon fonctionnement de l'hôpital.

Aujourd'hui deux choix se présentent pour les responsables des hôpitaux et des médecins.

Soit ils achètent à un prix très élevé une solution américaine qui a fait ses preuves aux USA et possède toutes les possibilités de communications internes ou externes avec un archivage complet permettant la disparition de tous les papiers et anciens modes de communication.

Soit ils construisent par couches successives un réseau connecté à de nouvelles applications internes ou externes propres à la Belgique et modulables selon les besoins en tenant compte des relations externes de l'hôpital (médecins généralistes, patients, MRS, pharmaciens extrahospitaliers, soins à domicile, hospitalisation à domicile, etc ).

Le choix est cornélien mais la deuxième solution parait la plus abordable du point de vue financier. Elle est aussi plus proche de la réalité du terrain en pleine évolution avec le dossier du patient accessible par lui-même et par celui à qui il autorise l'accès.

A chacun son choix en fonction de ses moyens et de son goût du risque pour l'avenir de son hôpital ?

Quelle que soit la solution choisie, elle rend indispensable, l'adhésion des travailleurs à la modernité représentée par les nouveaux systèmes informatiques.

Je suis persuadé que les nouvelles générations ne remettront plus en cause l'utilité de ces nouveaux outils qui rendront le travail hospitalier plus efficient et plus qualitatif.

A condition que la sécurité des transmissions et du recueil des données soit assurée pour éviter les cyberattaques et protéger les données des patients, les nouveaux développements technologiques basés sur les nanotechnologies apporteront des solutions positives à l'accroissement du nombre d'informations et de données complexes qui exercent aujourd'hui une pression considérable sur l'exercice professionnel des hospitaliers en facilitant la communication, la recherche d'un diagnostic plus précis et d'une thérapeutique plus efficiente.

Mais peut-on imaginer aujourd'hui une absence d'ordinateurs pour gérer l'admission, la facturation des soins très complexe dans notre pays, la gestion des stocks pharmaceutiques et logistiques, le fonctionnement des laboratoires, la paie du personnel et bien d'autres fonctions dont les professionnels hospitaliers n'ont même plus conscience ?Les informaticiens bien souvent avec quelques médecins ou infirmières se sont attaqués à la gestion des informations médicales tant en communication directe qu'en archivage.La complexité et la variété de ces informations souvent non structurées ont contribué à la méfiance et au progressif rejet des instruments de l'informatique et de ses exigences formalisées par la nécessité d'une nouvelle organisation dans l'écriture, la codification et la hiérarchie des informations médicales.Ces difficultés et la nécessité d'investir financièrement beaucoup plus que ce que le budget des moyens financiers permet de réaliser dans le domaine de l'informatique ont entraîné des retards et des approximations nuisibles au développement de nouvelles technologies indispensables pour accélérer et fiabiliser les communications et la réalisation d'un dossier médical informatisé permettant la transmission d'informations vers les autres applications indispensables au bon fonctionnement de l'hôpital. Aujourd'hui deux choix se présentent pour les responsables des hôpitaux et des médecins.Soit ils achètent à un prix très élevé une solution américaine qui a fait ses preuves aux USA et possède toutes les possibilités de communications internes ou externes avec un archivage complet permettant la disparition de tous les papiers et anciens modes de communication.Soit ils construisent par couches successives un réseau connecté à de nouvelles applications internes ou externes propres à la Belgique et modulables selon les besoins en tenant compte des relations externes de l'hôpital (médecins généralistes, patients, MRS, pharmaciens extrahospitaliers, soins à domicile, hospitalisation à domicile, etc ).Le choix est cornélien mais la deuxième solution parait la plus abordable du point de vue financier. Elle est aussi plus proche de la réalité du terrain en pleine évolution avec le dossier du patient accessible par lui-même et par celui à qui il autorise l'accès.A chacun son choix en fonction de ses moyens et de son goût du risque pour l'avenir de son hôpital ?Quelle que soit la solution choisie, elle rend indispensable, l'adhésion des travailleurs à la modernité représentée par les nouveaux systèmes informatiques.Je suis persuadé que les nouvelles générations ne remettront plus en cause l'utilité de ces nouveaux outils qui rendront le travail hospitalier plus efficient et plus qualitatif.A condition que la sécurité des transmissions et du recueil des données soit assurée pour éviter les cyberattaques et protéger les données des patients, les nouveaux développements technologiques basés sur les nanotechnologies apporteront des solutions positives à l'accroissement du nombre d'informations et de données complexes qui exercent aujourd'hui une pression considérable sur l'exercice professionnel des hospitaliers en facilitant la communication, la recherche d'un diagnostic plus précis et d'une thérapeutique plus efficiente.