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Quatre décennies plus tard, note le New York Times, la méga-star hollywoodienne Angelina Jolie, lève, à 37 ans, un autre coin du voile, en révélant qu'elle a subi une mastectomie bilatérale préventive, et ce en raison d'un risque génétique accru (mutation BRCA). Cette révélation, comme celle de Mme Ford, naguère, devrait avoir un sérieux poids au niveau de l'opinion et un impact important auprès des femmes porteuses d'un risque génétique similaire. La notoriété considérable de l'intéressée devrait stimuler le débat et provoquer nombre d'interventions analogues, y compris, craignent d'aucuns, des interventions sans justification aucune.