"C'est vrai que c'est un chiffre décevant, nous a expliqué Rodolphe de Pierpont, porte-parole de Febelfin. Cela représente beaucoup d'efforts pour pas grand-chose, mais cela ne remet pas en question l'opportunité du projet. Lequel est peut-être en avance sur son temps; nous restons convaincus qu'il correspond assez bien aux besoins, attentes et à la philosophie du moment", poursuit-il.

Sur les douze personnes qui ont donné suite au protocole, seules trois ont plus de 50 ans. Neuf sur 12 ont un niveau de bachelor. "Quand le profil est très qualifié, il est plus réexploitable en interne", explique Rodolphe de Pierpont, porte-parole de Febelfin, dans La Libre. D'après lui, si ce projet n'a pas plus de succès, c'est aussi parce que les banques sont obligées "de retenir et de former des collaborateurs en interne" car elles éprouvent "d'énormes difficultés" à recruter à l'extérieur les profils recherchés.

"C'est vrai que c'est un chiffre décevant, nous a expliqué Rodolphe de Pierpont, porte-parole de Febelfin. Cela représente beaucoup d'efforts pour pas grand-chose, mais cela ne remet pas en question l'opportunité du projet. Lequel est peut-être en avance sur son temps; nous restons convaincus qu'il correspond assez bien aux besoins, attentes et à la philosophie du moment", poursuit-il. Sur les douze personnes qui ont donné suite au protocole, seules trois ont plus de 50 ans. Neuf sur 12 ont un niveau de bachelor. "Quand le profil est très qualifié, il est plus réexploitable en interne", explique Rodolphe de Pierpont, porte-parole de Febelfin, dans La Libre. D'après lui, si ce projet n'a pas plus de succès, c'est aussi parce que les banques sont obligées "de retenir et de former des collaborateurs en interne" car elles éprouvent "d'énormes difficultés" à recruter à l'extérieur les profils recherchés.