Le Laboratoire des systèmes de transport cellulaire (LCTS) du Pr Vangheluwe collabore avec SandboxAQ, une société d'intelligence artificielle, pour accélérer la découverte de médicaments candidats capables de restaurer une fonction clé dans le Parkinson.
'ATP10B' est une protéine associée à la protection contre la maladie de Parkinson. S'appuyant sur des subventions de recherche de la Michael J. Fox Foundation for Parkinson's Research (MJFF) et de l'Aligning Science Across Parkinson's Initiative, le Laboratoire du Pr Vangheluwe, au sein de la KU Leuven, en collaboration avec la plateforme d'IA de SandboxAQ, veut contribuer à une meilleure compréhension des mécanismes sous-jacents du dysfonctionnement de cette protéine. L'IA va permettre d'accélérer et d'élargir la recherche de molécules capables d'améliorer la fonction de l'ATP10B, ouvrant ainsi la voie à de nouveaux traitements.
"Dans la maladie de Parkinson, la communication et la gestion de l'énergie dans les cellules cérébrales sont altérées. Le gène ATP10B joue un rôle essentiel à cet égard, en favorisant le transport d'un type spécifique de molécule de graisse (glucosylcéramide) à l'intérieur des cellules. Lorsque ce processus est perturbé, les cellules cérébrales luttent pour survivre", explique la KU Leuven dans un communiqué.
Peter Vangheluwe est un chercheur mondialement connu dans le domaine des transporteurs lysosomiaux impliqués dans le Parkinson, tels que 'ATP13A2' et 'ATP10B'. Partenaire de longue date du CMJF, son labo a contribué à mieux comprendre les mécanismes sous-jacents du dysfonctionnement de ces transporteurs, et travaille à la découverte de médicaments en lien avec 'ATP13A2'.
Comment soutenir cette protéine?
La protéine 'ATP10B' est très complexe, la science ne comprend pas encore tout à fait comment elle peut déplacer les molécules de glucosylcéramide. Les scientifiques planchent toutefois sur de petites molécules qui pourraient aider la protéine à mieux fonctionner afin de potentiellement réduire ou prévenir les dommages causés aux cellules cérébrales par la maladie de Parkinson.
" Grâce à la technologie de l'IA, nous pouvons désormais simuler et tester les effets de médicaments potentiels sur un modèle de la protéine ATP10B. Cela accélère considérablement nos recherches, ce qui n'aurait pas été possible avec les seules expériences en laboratoire ", explique le Pr Vangheluwe. " La technologie de SandboxAQ nous offre une nouvelle façon de concevoir des molécules uniques et de tester nos idées plus rapidement et avec plus de précision. Cela nous permettra d'obtenir des informations qui n'étaient pas possibles auparavant et de faire avancer nos recherches. "
SandboxAQ est une spin-off d'Alphabet, la société mère de Google. Elle utilise des simulations d'IA avancées et de grands modèles quantitatifs (LQM) pour accélérer et améliorer les projets de développement de médicaments. Pour ce faire, elle utilise des méthodes telles que le repliement des protéines, les calculs d'énergie libre et les modèles de langage protéique pour concevoir à la fois des petites molécules et des anticorps.
" Les techniques et modèles d'IA avancés ont déjà prouvé leur capacité à concevoir des molécules révolutionnaires pour des maladies complexes, y compris la neurodégénérescence ", explique la directrice générale de la simulation d'IA chez SandboxAQ. "La KU Leuven possède l'un des principaux centres de recherche sur la maladie de Parkinson dans le monde, nous sommes ravis d'utiliser notre technologie pour accélérer leur travail et développer de nouveaux traitements. "
'ATP10B' est une protéine associée à la protection contre la maladie de Parkinson. S'appuyant sur des subventions de recherche de la Michael J. Fox Foundation for Parkinson's Research (MJFF) et de l'Aligning Science Across Parkinson's Initiative, le Laboratoire du Pr Vangheluwe, au sein de la KU Leuven, en collaboration avec la plateforme d'IA de SandboxAQ, veut contribuer à une meilleure compréhension des mécanismes sous-jacents du dysfonctionnement de cette protéine. L'IA va permettre d'accélérer et d'élargir la recherche de molécules capables d'améliorer la fonction de l'ATP10B, ouvrant ainsi la voie à de nouveaux traitements."Dans la maladie de Parkinson, la communication et la gestion de l'énergie dans les cellules cérébrales sont altérées. Le gène ATP10B joue un rôle essentiel à cet égard, en favorisant le transport d'un type spécifique de molécule de graisse (glucosylcéramide) à l'intérieur des cellules. Lorsque ce processus est perturbé, les cellules cérébrales luttent pour survivre", explique la KU Leuven dans un communiqué. Peter Vangheluwe est un chercheur mondialement connu dans le domaine des transporteurs lysosomiaux impliqués dans le Parkinson, tels que 'ATP13A2' et 'ATP10B'. Partenaire de longue date du CMJF, son labo a contribué à mieux comprendre les mécanismes sous-jacents du dysfonctionnement de ces transporteurs, et travaille à la découverte de médicaments en lien avec 'ATP13A2'.La protéine 'ATP10B' est très complexe, la science ne comprend pas encore tout à fait comment elle peut déplacer les molécules de glucosylcéramide. Les scientifiques planchent toutefois sur de petites molécules qui pourraient aider la protéine à mieux fonctionner afin de potentiellement réduire ou prévenir les dommages causés aux cellules cérébrales par la maladie de Parkinson." Grâce à la technologie de l'IA, nous pouvons désormais simuler et tester les effets de médicaments potentiels sur un modèle de la protéine ATP10B. Cela accélère considérablement nos recherches, ce qui n'aurait pas été possible avec les seules expériences en laboratoire ", explique le Pr Vangheluwe. " La technologie de SandboxAQ nous offre une nouvelle façon de concevoir des molécules uniques et de tester nos idées plus rapidement et avec plus de précision. Cela nous permettra d'obtenir des informations qui n'étaient pas possibles auparavant et de faire avancer nos recherches. "SandboxAQ est une spin-off d'Alphabet, la société mère de Google. Elle utilise des simulations d'IA avancées et de grands modèles quantitatifs (LQM) pour accélérer et améliorer les projets de développement de médicaments. Pour ce faire, elle utilise des méthodes telles que le repliement des protéines, les calculs d'énergie libre et les modèles de langage protéique pour concevoir à la fois des petites molécules et des anticorps." Les techniques et modèles d'IA avancés ont déjà prouvé leur capacité à concevoir des molécules révolutionnaires pour des maladies complexes, y compris la neurodégénérescence ", explique la directrice générale de la simulation d'IA chez SandboxAQ. "La KU Leuven possède l'un des principaux centres de recherche sur la maladie de Parkinson dans le monde, nous sommes ravis d'utiliser notre technologie pour accélérer leur travail et développer de nouveaux traitements. "