Maladie encore méconnue, l'endométriose touche plus de 10% des femmes, dont 30 à 40% connaissent en conséquence des troubles de la fertilité plus ou moins prononcés. Aujourd'hui, le temps qui s'écoule entre les premiers symptômes et le diagnostic d'endométriose, est encore trop long : cinq à dix ans en moyenne. Les femmes doivent souvent passer par plusieurs médecins pour obtenir un diagnostic, surtout quand leur endométriose prend des formes inhabituelles (troubles digestifs ou urinaires par exemple). Or l'endométriose a un impact souvent sévère sur la qualité de vie.

C'est pour toutes ces raisons que l'hôpital Érasme a décidé, avec le Dr Fastrez, de mettre en place sa Clinique de l'endométriose. La clinique se veut multidisciplinaire, avec une équipe de gynécologues chirurgiens pouvant prendre en charge la patiente du diagnostic à l'opération chirurgicale si elle s'avère nécessaire. On note également la présence de thérapeutes spécialisés, y compris sexologues, pour accompagner les patientes dans leur parcours parfois difficile.

Des collaborations entre cliniques spécialisées

Le parcours de la patiente a été réfléchi. Elle commence par une consultation accompagnée d'une échographie transvaginale qui permettra, pour environ 80% des femmes, un diagnostic au premier rendez-vous.

Des collaborations avec d'autres cliniques spécialisées sont au programme. D'abord avec la Clinique de la fertilité qui permettra d'offrir aux patientes un conseil personnalisé par rapport à leur fertilité actuelle et future. Les chances de conception spontanée, les traitements d'assistance à la procréation et les possibilités de préservation de la fertilité pourront être abordées. Ensuite avec le Centre multidisciplinaire d'évaluation et de traitement de la douleur (CMETD) qui permettra d'offrir à ces femmes toute la gamme des traitements contre la douleur, des médicaments aux infiltrations, mais aussi tout le soutien psychologique dont elles ont besoin.

Maladie encore méconnue, l'endométriose touche plus de 10% des femmes, dont 30 à 40% connaissent en conséquence des troubles de la fertilité plus ou moins prononcés. Aujourd'hui, le temps qui s'écoule entre les premiers symptômes et le diagnostic d'endométriose, est encore trop long : cinq à dix ans en moyenne. Les femmes doivent souvent passer par plusieurs médecins pour obtenir un diagnostic, surtout quand leur endométriose prend des formes inhabituelles (troubles digestifs ou urinaires par exemple). Or l'endométriose a un impact souvent sévère sur la qualité de vie. C'est pour toutes ces raisons que l'hôpital Érasme a décidé, avec le Dr Fastrez, de mettre en place sa Clinique de l'endométriose. La clinique se veut multidisciplinaire, avec une équipe de gynécologues chirurgiens pouvant prendre en charge la patiente du diagnostic à l'opération chirurgicale si elle s'avère nécessaire. On note également la présence de thérapeutes spécialisés, y compris sexologues, pour accompagner les patientes dans leur parcours parfois difficile. Le parcours de la patiente a été réfléchi. Elle commence par une consultation accompagnée d'une échographie transvaginale qui permettra, pour environ 80% des femmes, un diagnostic au premier rendez-vous.Des collaborations avec d'autres cliniques spécialisées sont au programme. D'abord avec la Clinique de la fertilité qui permettra d'offrir aux patientes un conseil personnalisé par rapport à leur fertilité actuelle et future. Les chances de conception spontanée, les traitements d'assistance à la procréation et les possibilités de préservation de la fertilité pourront être abordées. Ensuite avec le Centre multidisciplinaire d'évaluation et de traitement de la douleur (CMETD) qui permettra d'offrir à ces femmes toute la gamme des traitements contre la douleur, des médicaments aux infiltrations, mais aussi tout le soutien psychologique dont elles ont besoin.