La ministre réagissait ainsi à la récente pétition lancée par les élèves de 5e et 6e secondaire de l'athénée de Waha, à Liège.

Ceux-ci se plaignent de n'avoir qu'un jour par semaine de cours en présentiel, alors que l'hybridation appliquée dès la 3e secondaire prévoit normalement la présence physique de 50% des élèves à l'école.

"Il importe à tout le moins que chaque pouvoir organisateur tente de maximiser la présence des élèves dans les limites de temps prévues. Le contact entre élèves et enseignants reste en effet plus important que jamais", a commenté lundi Mme Désir.

Disant "entendre le mécontentement" exprimé par les élèves, la ministre salue qu'une rencontre entre ceux-ci et la direction soit prévue ce mardi afin d'entamer un dialogue.

"L'hybridation reste la moins mauvaise des solutions dans le contexte sanitaire actuel (mais je suis) consciente que les choses ne sont pas optimales. Elle impose aux enseignants de réinventer leur métier dans des conditions compliquées. Elle pose aussi de gros problèmes aux élèves pour conserver leur motivation et accéder aux contenus d'enseignement", souligne la ministre.

Selon les éditions Sudpresse de ce week-end, la pétition des élèves de l'athénée de Waha a déjà rassemblé plusieurs centaines de signatures. L'échevin de l'Instruction de Liège, Pierre Stassart, reconnaît la situation, motivée par des considérations sanitaires.

"La volonté a toujours été que les cours théoriques qui peuvent se donner à distance se fassent ainsi. Ce n'est peut-être pas l'idéal, mais c'est possible. Depuis le début de la crise, on essaie vraiment de faire attention, et on part du principe qu'il vaut mieux trop de précautions que trop peu", expliquait samedi l'édile, interrogé par le quotidien.

La ministre réagissait ainsi à la récente pétition lancée par les élèves de 5e et 6e secondaire de l'athénée de Waha, à Liège. Ceux-ci se plaignent de n'avoir qu'un jour par semaine de cours en présentiel, alors que l'hybridation appliquée dès la 3e secondaire prévoit normalement la présence physique de 50% des élèves à l'école. "Il importe à tout le moins que chaque pouvoir organisateur tente de maximiser la présence des élèves dans les limites de temps prévues. Le contact entre élèves et enseignants reste en effet plus important que jamais", a commenté lundi Mme Désir. Disant "entendre le mécontentement" exprimé par les élèves, la ministre salue qu'une rencontre entre ceux-ci et la direction soit prévue ce mardi afin d'entamer un dialogue. "L'hybridation reste la moins mauvaise des solutions dans le contexte sanitaire actuel (mais je suis) consciente que les choses ne sont pas optimales. Elle impose aux enseignants de réinventer leur métier dans des conditions compliquées. Elle pose aussi de gros problèmes aux élèves pour conserver leur motivation et accéder aux contenus d'enseignement", souligne la ministre. Selon les éditions Sudpresse de ce week-end, la pétition des élèves de l'athénée de Waha a déjà rassemblé plusieurs centaines de signatures. L'échevin de l'Instruction de Liège, Pierre Stassart, reconnaît la situation, motivée par des considérations sanitaires. "La volonté a toujours été que les cours théoriques qui peuvent se donner à distance se fassent ainsi. Ce n'est peut-être pas l'idéal, mais c'est possible. Depuis le début de la crise, on essaie vraiment de faire attention, et on part du principe qu'il vaut mieux trop de précautions que trop peu", expliquait samedi l'édile, interrogé par le quotidien.