"C'est clairement de l'irresponsabilité politique. Cette coalition est minoritaire; MR et cdH continuent pourtant à faire des annonces sans aucune explication quant au montage financier. C'est clairement une nouvelle facture pour le prochain gouvernement wallon", a ainsi pointé la députée socialiste Joëlle Kapompole.

"Cela ressemble furieusement à des cadeaux distribués tous azimuts à deux mois des élections", a-t-elle ajouté.

Interrogé lundi midi sur le financement du plan, le ministre wallon du Budget Jean-Luc Crucke avait de son côté expliqué qu'en raison de la déconsolidation acceptée par l'Institut des Comptes nationaux (ICN), l'impact budgétaire pour la Région serait lissé dans le temps et qu'aucun emprunt "n'est et ne sera nécessaire".

Enfin, outre l'aspect budgétaire, le PS estime également qu'en ayant accepté tous les dossiers valablement introduits "sans aucune sélectivité", le gouvernement régional ne répond pas à la nouvelle loi fédérale qui impose de favoriser des complémentarités entre hôpitaux afin de créer à terme des réseaux loco-régionaux au sein desquels les spécialisations devront être réparties entre les différents sites hospitaliers.

"C'est clairement de l'irresponsabilité politique. Cette coalition est minoritaire; MR et cdH continuent pourtant à faire des annonces sans aucune explication quant au montage financier. C'est clairement une nouvelle facture pour le prochain gouvernement wallon", a ainsi pointé la députée socialiste Joëlle Kapompole. "Cela ressemble furieusement à des cadeaux distribués tous azimuts à deux mois des élections", a-t-elle ajouté. Interrogé lundi midi sur le financement du plan, le ministre wallon du Budget Jean-Luc Crucke avait de son côté expliqué qu'en raison de la déconsolidation acceptée par l'Institut des Comptes nationaux (ICN), l'impact budgétaire pour la Région serait lissé dans le temps et qu'aucun emprunt "n'est et ne sera nécessaire". Enfin, outre l'aspect budgétaire, le PS estime également qu'en ayant accepté tous les dossiers valablement introduits "sans aucune sélectivité", le gouvernement régional ne répond pas à la nouvelle loi fédérale qui impose de favoriser des complémentarités entre hôpitaux afin de créer à terme des réseaux loco-régionaux au sein desquels les spécialisations devront être réparties entre les différents sites hospitaliers.