Le médecin-chef reste l'arbitre sans sifflet et le conseil médical a gardé son rôle de conseiller de la direction et du gestionnaire mais surtout d'arbitre des conflits entre médecins.

Il a le plus souvent repris les fonctions des associations ou des unions professionnelles mais n'a pas encore acquis les responsabilités de cogestionnaire.

S'il apparaît de plus en plus que des médecins deviennent directeurs généraux ou administrateurs délégués d'institutions hospitalières, il faut bien admettre que de nombreuses institutions hospitalières, principalement publiques, refusent toujours la présence de médecins dans leurs conseils d'administration.

La méfiance continue à régner et le monde politique ou leurs représentants dans des asbl veulent garder leur pouvoir en n'élargissant pas les organes de gestion aux administrateurs indépendants ou aux médecins compétents.

De plus en plus de médecins, chefs de service ou membres de conseils médicaux hospitaliers, s'inscrivent souvent à des formations spécialisées en gestion hospitalière (MMISS - CIMM, etc.) de façon à pouvoir comprendre les gestionnaires mais aussi d'accéder aux postes d'administrateurs ou de directeurs médicaux ou généraux d'hôpitaux.

La loi doit évoluer en accordant plus de pouvoir décisionnel au médecin-chef, principalement au niveau de l'organisation des services médicaux, en essayant de réduire les individualismes caractéristiques de notre formation professionnelle pour accroître une vision communautaire et mieux structurée de l'organisation médicale au service des patients dans le cadre d'une institution hospitalière qui est en train de vivre de nombreuses transformations.

L'hôpital s'intègre de plus en plus à l'ensemble des soins de santé transmuraux. Il devient membre de réseaux avec des fonctions de plus en plus ambulatoires dans le cadre de trajets de soins structurés qualitatifs répondant à des nécessités économiques beaucoup plus strictes pour permettre l'accession de tous aux thérapeutiques modernes d'une médecine dont l'évolution s'accélère de jour en jour, laissant le médecin assailli d'informations de plus en plus nombreuses permettant des choix diagnostiques et thérapeutiques de plus en plus variés, complexes et efficaces.

L'hôpital de demain sera au centre de ce recueil de données et de ces nouvelles technologies. Il doit rester un instrument médical géré par des professionnels médicaux essentiellement au service des patients en utilisant de manière efficiente les moyens financiers publics mis à sa disposition par les citoyens.

Le médecin-chef reste l'arbitre sans sifflet et le conseil médical a gardé son rôle de conseiller de la direction et du gestionnaire mais surtout d'arbitre des conflits entre médecins.Il a le plus souvent repris les fonctions des associations ou des unions professionnelles mais n'a pas encore acquis les responsabilités de cogestionnaire.S'il apparaît de plus en plus que des médecins deviennent directeurs généraux ou administrateurs délégués d'institutions hospitalières, il faut bien admettre que de nombreuses institutions hospitalières, principalement publiques, refusent toujours la présence de médecins dans leurs conseils d'administration.La méfiance continue à régner et le monde politique ou leurs représentants dans des asbl veulent garder leur pouvoir en n'élargissant pas les organes de gestion aux administrateurs indépendants ou aux médecins compétents.De plus en plus de médecins, chefs de service ou membres de conseils médicaux hospitaliers, s'inscrivent souvent à des formations spécialisées en gestion hospitalière (MMISS - CIMM, etc.) de façon à pouvoir comprendre les gestionnaires mais aussi d'accéder aux postes d'administrateurs ou de directeurs médicaux ou généraux d'hôpitaux.La loi doit évoluer en accordant plus de pouvoir décisionnel au médecin-chef, principalement au niveau de l'organisation des services médicaux, en essayant de réduire les individualismes caractéristiques de notre formation professionnelle pour accroître une vision communautaire et mieux structurée de l'organisation médicale au service des patients dans le cadre d'une institution hospitalière qui est en train de vivre de nombreuses transformations.L'hôpital s'intègre de plus en plus à l'ensemble des soins de santé transmuraux. Il devient membre de réseaux avec des fonctions de plus en plus ambulatoires dans le cadre de trajets de soins structurés qualitatifs répondant à des nécessités économiques beaucoup plus strictes pour permettre l'accession de tous aux thérapeutiques modernes d'une médecine dont l'évolution s'accélère de jour en jour, laissant le médecin assailli d'informations de plus en plus nombreuses permettant des choix diagnostiques et thérapeutiques de plus en plus variés, complexes et efficaces.L'hôpital de demain sera au centre de ce recueil de données et de ces nouvelles technologies. Il doit rester un instrument médical géré par des professionnels médicaux essentiellement au service des patients en utilisant de manière efficiente les moyens financiers publics mis à sa disposition par les citoyens.