Les personnes qui veulent souscrire une assurance doivent aujourd'hui indiquer si elles ont subi une maladie grave comme un cancer dans leur vie. Les assureurs partent du principe que ces clients représentent un risque plus élevé. La prime d'assurance peut dans certains cas être jusqu'à huit fois plus élevée.

Le ministre Peeters va intégrer un "droit à l'oubli" dans la législation encadrant les assurances. Les personnes qui souffrent notamment d'un diabète qui est sous contrôle ne devront plus le mentionner.

Cela s'appliquera aux assurances en matière de soins de santé et aux assurances solde restant dû", a déclaré Kris Peeters aux quotidiens.

L'objectif est d'adapter la législation avant la fin de l'année.

Les personnes qui veulent souscrire une assurance doivent aujourd'hui indiquer si elles ont subi une maladie grave comme un cancer dans leur vie. Les assureurs partent du principe que ces clients représentent un risque plus élevé. La prime d'assurance peut dans certains cas être jusqu'à huit fois plus élevée. Le ministre Peeters va intégrer un "droit à l'oubli" dans la législation encadrant les assurances. Les personnes qui souffrent notamment d'un diabète qui est sous contrôle ne devront plus le mentionner. Cela s'appliquera aux assurances en matière de soins de santé et aux assurances solde restant dû", a déclaré Kris Peeters aux quotidiens. L'objectif est d'adapter la législation avant la fin de l'année.