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Ceci passe partiellement par l'intermédiaire de la stimulation de production de calprotectine, une protéine qui déclenche le processus inflammatoire alimentant l'élaboration de plaques obstruant les artères. Ce constat mis en évidence chez la souris et confirmé par certaines données humaines, suggère la possibilité de développer de nouveaux agents thérapeutiques pour réduire l'incidence de la maladie cardiovasculaire chez les diabétiques de type 1. Cette étude a été dirigée par des chercheurs du Columbia University Medical Center (CUMC), en collaboration avec des investigateurs de la New York University et de l'University of Pittsburgh. (référence : Nagareddy PR et al. Cell Metabolism. 2013;doi:10.1016/j.cmet.2013.04.001)