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Profitant du contexte des élections, le Cium (Comité interuniversitaire des étudiants en médecine francophones) avait déposé, notamment auprès d'Elio Di Rupo, un mémorandum visant à améliorer l'enseignement de la médecine à Mons et à renforcer le pôle hospitalier montois. Le Cium attendait du politique la mise en oeuvre du projet de renforcement du pôle hospitalier public montois avec l'ouverture du service de neurochirurgie, l'accueil d'une quarantaine de médecins de l'hôpital Saint-Joseph, l'extension structurelle de l'hôpital et la volonté d'un agrément de cardiologie B1-B2. Les étudiants souhaitent également peu ou prou parfaire leur master à Mons. A cet égard, le Cium observe que le PS montois est très ouvert et enclin au développement de cette nouvelle habilitation. "C'est également le cas de certains manifestes MR (celui du Lionel BONJEAN) s'inscrivant également dans le développement du master en médecine. Nous espérons que les enjeux régionaux primeront sur les lobbies incessants de certaines universités catholiques toujours confinées à une logique (dogmatique et dépassée) de réseaux. "Sur d'autres demandes - infrastructures sportives -, Di Rupo reçoit toutefois le bonnet d'âne.