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Sous-jacente est évidemment l'offre ou non de thérapies antisida dans le pays d'origine de ces demandeurs d'asile à propos de laquelle avocats et médecins n'ont aucune information. Or, une fois la décision négative prise par l'Office des étrangers, soulignent les " Belgian HIV doctors ", il n'y a pas d'appel possible. Cette organisation remet en question l'objectivité des médecins de l'Office et aussi la privation de soins et de matériel pendant la période d'appel devant le Conseil de contentieux des étrangers. Les Belgian HIV doctors remarquent que le sida a " bizarrement " perdu son statut de maladie " grave ". Ils font mention du cas d'un Burundais de plus de 60 ans, sidéen, diabétique avec insuffisance rénale au stade terminal et cardiaque de surcroît qui n'a pas pu voir son dossier examiné.