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En février dernier, le problème éminemment sensible des touchers rectaux et vaginaux sur patients endormis pendant les études de médecine a séparé la France en deux. Il y a d'un côté ceux qui " ne voient pas où est le problème " et les indignés qui placent cette pratique dans le registre du viol. Il y a pourtant une marge, écrit le Quotidien du médecin, entre des étudiants " s'entraînant " aux touchers et ceux qui pratiquent un tel geste sous l'autorité du maître de stage " en lien direct avec l'intervention en cours ". Le Quotidien a publié d'ailleurs un sondage en ligne. A la question " les termes du débat sont-ils bien plantés ? ", 15% répondent 'oui', 45% 'non' et 40% 'c'est plus compliqué que cela'.