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Cette situation risque d'entraîner un déficit de main d'oeuvre dans les maisons de repos. Le nombre exact de personnes concernées n'est pas connu, mais d'après le porte-parole d'un groupe de directeurs en colère contre cette situation, Yves Peleman, quelque 1.400 travailleurs seraient visés.Ces directeurs reprochent aux pouvoirs publics d'imposer des exigences trop importantes pour le personnel chargé de soins élémentaires. Ces employés aident par exemple les personnes âgées à manger ou à se déplacer et ils sont encadrés par des infirmières. Du côté du SPF Santé publique, on ne comprend pas la fronde des directeurs. Les règles sont connues depuis 2006 et la période de transition de six ans a maintenant expiré, souligne-t-on.