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"Cette évolution montre aussi que les problèmes psychiques sont maintenant plus rapidement détectés, et ça, c'est une bonne chose", poursuit Mme De Block. "Cela nous offre la chance de se saisir plus tôt du problème et d'éviter toute escalade. Une détection plus rapide montre également que les médecins généralistes et autres dispensateurs de soins sont toujours plus attentifs à ce genre de problèmes.""La volonté et les bonnes intentions sont donc clairement présentes", selon la ministre. "Mais le suivi, après la détection, et au moins aussi important. C'est pourquoi nous devons continuer à travailler dans tous les domaines concernés à une meilleure connaissance des différentes options. La psychopharmacie peut avoir une place dans le traitement, mais actuellement elle est trop souvent prescrite à tort."