Est-il trop tôt pour dresser un bilan (il reste un an et demi avant les élections législatives mais... 9 mois à peine avant les Communales) ?

La charge de travail d'un si petite commune l'empêchera-t-elle de continuer à assumer cette lourde charge de ministre fédérale ? Les deux sont compatibles comme l'ont montré de nombreux bourgmestres tels Magnette, Di Rupo, Bacquelaine ... Encore faut-il qu'elle le veuille...

Ayant lancé au pas de charge de nombreuses réformes dont les réseaux hospitaliers, la ministre de la Santé publique se demande peut-être combien d'années il faudra pour les implémenter, aussi nécessaires (voire indispensables) soient-elles. Serait-elle prise de vertige ? N'est-il pas plus excitant de lancer des idées plutôt que les mettre en oeuvre ? Pour pas mal de cabinettards, la réponse est oui. Ils ont déjà quitté le navire.

Maintenant, un turnover important dans un cabinet ministériel, même si ce n'est pas dans nos moeurs, est synonyme d'innovation permanente.

Au récent symposium des anesthésistes, Jacques de Toeuf, toujours bien informé, n'est sûr que d'une chose : à tout le moins, le forfait hospitalier 'faible variabilité' passera la rampe de la législature.

Mais tous les autres grands dossiers risquent bien de passer à la trappe si Maggie De Block ne veille pas elle-même au grain, au moins pendant 6 ans encore.

Dans la négative, le Dr De Block aura été, un peu comme Nicolas Sarkozy, une grande réformatrice sur le papier. Mais elle n'aura pas laissé de trace tangible dans l'histoire des soins de santé.

Est-il trop tôt pour dresser un bilan (il reste un an et demi avant les élections législatives mais... 9 mois à peine avant les Communales) ?La charge de travail d'un si petite commune l'empêchera-t-elle de continuer à assumer cette lourde charge de ministre fédérale ? Les deux sont compatibles comme l'ont montré de nombreux bourgmestres tels Magnette, Di Rupo, Bacquelaine ... Encore faut-il qu'elle le veuille...Ayant lancé au pas de charge de nombreuses réformes dont les réseaux hospitaliers, la ministre de la Santé publique se demande peut-être combien d'années il faudra pour les implémenter, aussi nécessaires (voire indispensables) soient-elles. Serait-elle prise de vertige ? N'est-il pas plus excitant de lancer des idées plutôt que les mettre en oeuvre ? Pour pas mal de cabinettards, la réponse est oui. Ils ont déjà quitté le navire.Maintenant, un turnover important dans un cabinet ministériel, même si ce n'est pas dans nos moeurs, est synonyme d'innovation permanente.Au récent symposium des anesthésistes, Jacques de Toeuf, toujours bien informé, n'est sûr que d'une chose : à tout le moins, le forfait hospitalier 'faible variabilité' passera la rampe de la législature.Mais tous les autres grands dossiers risquent bien de passer à la trappe si Maggie De Block ne veille pas elle-même au grain, au moins pendant 6 ans encore.Dans la négative, le Dr De Block aura été, un peu comme Nicolas Sarkozy, une grande réformatrice sur le papier. Mais elle n'aura pas laissé de trace tangible dans l'histoire des soins de santé.